Je tiens tout d’abord à
remercier Francis
Esquier, qui fut le premier lecteur
de mes propositions de traductions,
et qui m’éclaira sur le sens de ma propre démarche,
et Pierre
Trotignon, dont les encouragements, et les suggestions, m’aidèrent
à revenir sur un projet que j’avais cru un peu tôt accompli...
Je remercie Archibald
Michiels, qui me conduisit à traduire An die Parzen,
Martine
Morillon-Carreau pour les échanges fructueux qu’elle sait toujours
si bien provoquer,
Ce projet de traductions est
né de l’insatisfaction :
entre toutes les versions que
l’édition pouvait mettre à ma disposition, où était
la "vérité" ?
Mais, bien sûr, il n’était
même pas pensable sans ce travail déjà accompli :
le volume de la Pléiade
publié sous la direction de Philippe Jaccotet (1),
ainsi que la "vieille" édition
bilingue de Geneviève Bianquis (2),
m’accompagnent depuis trente
ans.
Je dois aussi beaucoup à
la fréquentation de Armel Guerne (3).
Enfin, je ne suis rien sans mon
édition de 1968 du grand dictionnaire Langenscheidt allemand-français
de Karl Sachs et Césaire Villatte (Librairie Larousse).
(1) : collaborateurs du volume de la Pléiade publié sous la direction de Philippe Jaccotet : Gustave Roud et Robert Rovini, François Fédier et André du Bouchet, ainsi que Michel Deguy, mais aussi Denise Naville pour la correspondance et les essais.
(2) : Aubier - éditions Montaigne : édition bilingue des poèmes
(3) : "Hymnes, élégies
et autres poèmes" traduits par Armel Guerne,
édition introduite et
annotée par Philippe Lacoue-Labarthe,
qui eut l'heureuse idée
d'y joindre cinq traductions de Brot und Wein :
celles de Gustave Roud, Geneviève
Bianquis, Robert Rovini, et Jean-Pierre Faye, avec la sienne.
(GF Flammarion 352)