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Visiteur ! Qui va là je te prie. Tu rentres dans un univers bizarre et incompréhensible, ne t'inquiète donc pas si une partie des évènements qui se produisent ici sont floue pour toi. Ici la logique n'as plus cours...

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Super Tito

Salut, étranger, je te souhaite la bien venu sur mon site qui je l'espère te plaira. Il n'a aucune autre prétention autre que de me faire plaisir à faire de l'informatique et de la programmation durant les longues nuits pluvieuses de l'été en ne voulant penser à rien d'autre...

P

la vie des autres est toujours plus belle, surtout quand on la regarde avec les yeux du désir...

E

B

Délibrement Vôtre, Tito. tito@chez.com

Je voulais simplement te dire...

Je voulais te dire que tu étais un peu de moi, que c'est avec toi que j'avais envie de partager tout cela. Cette vie qui arrive pour moi, cette vie que je veux encore et toujours prendre à bras le corps, cette vie qui m'est offerte. C'est encore avec toi que je veux la partager, et surtout la vivre. La vivre, c'est encore plus fort que de la voire. Je ne veux pas me retrouver avec Elle, au soir de ma vie et me poser la question de savoir qui est elle où es tu, je ne veux pas au soir de ma vie me dire tu as fait le mauvais choix et tu n'as pas vécu ce que tu méritais ou ce que tu voulais vivre. Tu ne lui as pas offert ce que tu lui avait promis, tu ne lui a pas permit de s'épanouir et de partager ses passions en même temps que les tiennes. Je ne veux pas avoir à me dire au soir de ma vie que j'ai oublié de vivre pour moi et pour elle. Je veux pouvoir me retourner avec elle, dans ses bras et lui dire doucement dans le creux de l'oreille: "Regarde là, c'est encore toi et moi, pour toujours..."

La présentation de la Mort qui tue toutes les pages perso de la Terre de la Mort...

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Le sommaire...

EDITO :

Va Savoir!

Dimanche 29 Mars 98, 18h46

Et puis voilà, ça auriat pu être aujourd’hui, ou encore demain, mais non

il est temps, tant et tant.

Je ne savais pas encore mais maintenant je suis sûr, je sais. Je n’ai

plus à cherhcer à me perdre dans des caracté”ristiques et des méandres

impersonnels. Il est temps, et j’ai ce temps. Je le prends pour ne plus

vous le rendre, je le prends comme un voleur, mais je vous le prête

volontier. Je ne m’enferme pas, je ne cherche pas, je ne sais pas mais

je ne veux plus. J’aurais voulu quand je n’ai pas pu, j’aurias pu quand

je n’ai pas voulu, j’ai regretté alors que je n’aurais pas dû... Je me

suis caché derrière cette insolente anonymat qui ne feind personne si ce

n’est moi-même.

Encore une fois, je me cache derrière ce clavier et de mes doigts

boudinés, je passe une journée à écrire encore et encore, une journée

comme une autre avec ses malheurs et se bonheurs. Une journée comme la

foule en a toujours vécu, et puis là tout à coup entre deux phrases,

entre deux mots, le vague a l’âme m’emporte au loin et je divague.

Je me laisse porté au gré de mes aspirations, je voyages sans même

bouger de mon siège, je vis des aventures extraordinaires. Je vois des

paysages, des univers, des sociétés, des foules qui ne ressemblent en

rien à ce que j’ai déjà rencontré mais qui par leur originalité, leur

unicité font passer autant d’émotion. Je ne sais plus comment me repérer

dans cet univers qui perd la notion de temps et d’espace. Je me plais à

m’y perdre, à toujours m’y repredre de plus en plus, à chercher encore

et encore celle qui sera là pour partager quelques instants de félicité.

Je ne sais plus comment faire pour retourner chez nous, ce n’est rien,

vais je seulement vouloir me retourner, rentrer, quitter cette variété.

Je ne vaux plus retourner en arrière, d’ailleurs je ne vois plus

derrière. Tout à coup, c’est lenoir complet, j’avance encore et je me

retrouve toujours devant des choses encore plus magnifiques que les

précédentes. Je ne sais plus où donner de la tête mais déjà, l’ombre me

rattrape, elle est là, juste derrière moi, je continue mais elle me

suis. Elle attend le moment propice, elle me veut. Je ne sais pas qui

elle est, j’ai peur tout à coup. J’avance encore, j’assaye de me mettre

à courir, mais je n’y arrive pas, elle se rapproche. Je sens un souffle

tiède derrière moi, comme une brise maritime qui balaye la jetée. Je

panique, il ne faut pas...

L’inquiétude est en train de transformer les paysages autour de moi, la

lumière s’échappe sans que je ne puisse la retenir. Je ne comprends

plus, tout est de plus en plus flou. Très flou...

Je réalise que je suis toujours devant mon écran, je n’ai pas bouger et

pourtant je transpire, j’ai les muscles encore crispé comme après un

effort long et violent. Mes yeux sont lourds et gourds. Je t’attends

mais tu ne viendras pas, je te parle mais tu ne m’écouteras pas, je te

regarde et tu ne me vois pas.

Pourquoi, en suis je là, à attendre quelqu’un qui ne viendra pas, comme

un enfant attend toujours une réponse de son Père Noël, surtout quand

les temps sont dures. Pourquoi, je reste là à écrire à parler de toi

mais que je ne te le dirais jamais en face, comme si un obstacle ou une

science supérieure avait décidé que je resterai uniquement celui qui

écrit que mon chemin était tout tracé devant et derrière moi. Et que

finallement m’en détourner serait pour moi quelque chose de plus

difficille que de suivre mon chemin.

Je vois ton corps là bas dans l’entrrebaillement de la porte. Tu es

seule assise sur ton lit et tu semble tout aussi penseuse que moi. Je ne

sais pas mais trop ce que tu fais, peut être es tu en train de lire, de

rêver, de t’évader de toi. Je ne veux même pas savoir, je reste en

silence là, à te regarder et le temps passe, passe.

Je ne sais pas si tu me vois, je ne me cache pas, je voudrais juste

comprendre, savoir.

Allez à plus les enfants, les petits et les grands...

Pour les anciens éditos, c'est ICI !

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