Silence,
cest ainsi que souffle ton absence dans mon
cur, sur ma vie, dans mon âme et contre ma chair.
Si je te dis ma peine, tu oserais peut être me croire
quand je te dis : » je tAIME ».
Mon besoin de toi emplit mes pores, cest un grand
vertige que de vivre séparé de toi. Labsence
diminue les médiocres passions comme le vent
dautomne disperse les feuilles au loin, le beau
jour est arrivé où je peux te dire sans crainte de
parjure : JE TAIME.
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Je TAIME aussi pour tant
dautres choses qui nappartiennent quà
nous, ce sont les « essentielles » qui te
rendent si extraordinaire, cest ce qui me lie à
toi pour toujours même si cela ne devait rester que des
souvenirs.
Je TAIME
à la folie, mon cur crie quil est à toi,
sers-moi fort tout
contre toi et je ne te lâcherai plus, car sans toi je
n'existe plus. Reste prêt de moi, car tu vois maintenant
je ne suis plus qu'à toi .
A ne pas vouloir voir ce
miracle, jai failli à moi même. Je comprends ta
peine et ta douleur à la vue de mon infamie, jai
honte de moi.
Valérie, ne
doute pas de toi, tu es celle que tout le monde admire.
Tu échoues
jamais et tu as dompté un sauvage.
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Le beau soir où jai à peine
osé croiser ton regard, tes yeux habillés dor,
denvie et denchantement me montraient déjà
que quelque chose pouvait se transformer en moi.
Cest en toi, dans cette force qui fait ta beauté
que jai puisé une réconciliation avec moi même.
Tu mas
appris le sens de lAMOUR et du BONHEUR.
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