Auteur : Stéphanie
Résumé : Les anges ne sont pas ce que nous croyons. Mulder va s'en rendre compte par une rencontre pas ordinaire.
Date : 13/02/02
Disclamer : La série est celle du génie Chris Carter.

L'ANGE, DEUXIÈME PARTIE

SEATTLE
RESTAURANT

Scully : Et tu recherches des OVNIS toute l'année.
Mulder : Et oui. Je sais que ça fait rire tout le monde quand j'en parle.

Scully : Non je ne me moque pas du tout. Mais je n'arrive pas à comprendre, tu sais moi je suis une scientifique et il faut que je vois pour que je crois. Comme...

Mulder : St Nicolas.
Scully : Oui exactement...

Ils se mettent à rigoler tous les deux.

DANS LA RUE

Mulder et Scully marche dans la rue, ils rigolent à tout tête. Le moment fatidique est arrivé, ils sont arrivés devant la porte de l'immeuble de Scully.

Mulder : Voilà ! Te voilà devant ta porte.
Scully : Oui. À quoi tu penses ?
Mulder : Je me dis que je ne vais jamais retrouver la route de mon immeuble.

Scully se met à rire, Mulder la rejoint dans son fou rire.

Scully sans rien dire monte les premières marches. Mulder surpris, la regarde et se demande ce qu'il doit faire. Elle se retourne est lui sourit.

Comme une invitation Mulder prend le pas et la suit dans les dédales du corridor de son immeuble.

Doucement Scully entre dans son appartement, Mulder la suit de près, sans allumer la lumière elle tourne autour de Mulder pour pouvoir refermer la porte derrière lui. Sans faire attention, ils se retrouvent l'un en face de l'autre. Une tension se place entre les deux et leurs corps se rapprochent de plus en plus jusqu'à sentir la respiration de l'autre. Une respiration accélérée par l'émotion du moment.

Leurs bouchent se fr

Les mains suivent le mouvement des bouches, les corps sont collés au point de se fondre l'un dans l'autre. Les deux corps se déplacent jusqu'à atteindre un mur où le corps de Scully est pressé sous le poids de celui de Mulder. Ses bras entourent la taille de la jeune femme, puis la soulève tout doucement afin de la conduire sur le lit...

Allongé sur le ventre, la tête sur la poitrine de Scully, Mulder s'endort doucement.

Le soleil fait son jeu d'ombre et de lumière dans la chambre où les deux amants dorment paisiblement. Doucement Mulder s'éveille et embrasse Scully pour qu'elle le rejoigne dans cette nouvelle journée.

Mulder : Bonjour!
Scully : Humm Bonjour! Tu as bien dormis?
Mulder : Oui. Comme un bébé.
Scully : Et tu veux un petit déjeuner.

Après un bon p'tit déjeuner, Mulder l'air contrarié se lève et se dirige vers la chambre.

Mulder : Je suis désolé, mais il faut que je retourne à l'hôtel, je suis venu à Seattle pour une enquête. Et...

Scully : ... Mais tu n'as pas le temps de passer un peu de temps avec des gens qui ne sont pas des extraterrestres...

Mulder : Si, si mais je dois travailler, il faut...
Scully : Va travailler ! Va!

Mulder prend les mains de Scully dans les siennes.

Mulder : Excuses moi Dana ! Mais... Mais travailler, c'est important pour moi, c'est ma raison de vivre.

Scully sourit, l'embrasse et Mulder prend le chemin de la porte.

SEATTLE
DEUX JOURS PLUS TARD

Mulder revient dans le café où il a rencontré pour la première fois Scully. Il voit Michel son ami qui l'attend à une table.

Michel : Hey Mulder ! Comment tu vas de si beau matin?

Mulder : Arrête tes simagrées s'il te plaît, tu m'as amené dans une impasse, ton indic m'a rien donné, tu es un escroc, tu sais pourtant que je tiens beaucoup à cette affaire, elle m'est vitale.

Michel : Mais qu'est ce que tu racontes, je ne t'ai pas roulé et mon indic est le meilleur de la ville.

Mulder : Il m'a dit que ma soeur se prostituée dans cette ville et qu'elle s'était fait tuer par son mec... Mais c'est quoi c'est histoire. Ma soeur a été enlevée...

Michel : Oui par des extraterrestres, on le sait Mulder, mais quand est-ce que tu finiras de te réfugier dans le mensonge d'un gosse du gosse que tu étais lors de ce fait tragique. C'est en ami que j'ai dit à ce mec de te raconter tout ça. Il faut que tu fasses le deuil de ta soeur.

Mulder part en faisant tomber la chaise derrière lui. Son ami le regarde attristé.

Ange, partie 3
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