Titre : A tout jamais
Auteur : Steff dit La Frite.
Adresse : steff.lafrite@free.fr

Résumé : Et si Mulder et Scully étaient d'autres personnes, et si ils ne s'étaient jamais rencontrés au FBI, est ce que l'histoire serait la même?

Shipper : Oui

Spoiler : Non mais cette fanfic se situe après l'enlèvement de Mulder. (juste pour se mettre dans le vif du sujet)

Disclamer : Toujours le même blabla, alors je ne suis pas Chris Carter (et merde) et les personnages et les lieux ne m'appartiennent pas (du tout).

À TOUT JAMAIS, PARTIE 1

APPARTEMENT DE SCULLY
03H12 PM

Scully tourne et retourne dans son lit à la quête du sommeil. Une idée la tourmente " et si Mulder ne revenait jamais, si il était mort ". Une larme glisse sur la courbe de sa joue et finit son chemin sur l’oreiller. Mais au lieu de pénétrer dans les fibres du tissus, elle garde sa forme comme si le tissu était imperméable. Scully fixe cette petite boule d’eau salée qui renferme en son sein toute sa tristesse, étrangement attirée par son instinct elle ne la quitte pas du regard. Une lumière aveuglante casse la membrane de la petite boule d’eau, et se répercute sur le mur. Scully se redresse devant ce spectacle de lumières.

Voix : Dana ! Ne pleurs pas Dana.

Sur cette voix familière Scully se retourne et voit une ombre lumineuse.

Scully : Melissa ? !

Ebettée Scully ne sait plus quoi dire ni quoi faire. Melissa s’approche d’elle et pose sa main sur la joue de sa sœur.

Melissa : Ne pleurs pas Dana. Tout va bien aller. Je sais que tu as peur pour Mulder, que tu as peur de ne plus jamais le revoir. Mais, je suis ici pour te montrer quelque chose.

Scully : Quoi ? Que veux tu me montrer ?
Melissa : Vous êtes des inséparables !
Scully : Des in…… comment ça ? Je ne… ?

Mellissa : Imagines ! Imagines que vos destins ne vous aient pas conduits où vous en êtes aujourd’hui, Imagines que vos destins qui, quoi qui se passe, seront toujours liés, et que toute les défaites toutes les épreuves ne pourront jamais vous séparer et ça jusqu’à la fin des temps……

Scully : Je ne comprend rien…je
Melissa : Chuttt…(elle pose son doigt sur la bouche de sa sœur) Endors toi et la lumière te viendras.

Scully regarde sa sœur, intriguée par la sérénité qui règne sur son visage, et finit par se coucher et à fermer les yeux.

HÔPITAL DE SAN DIEGO.
MERCREDI 15 NOVEMBRE 2000

Skinner et Doggett sont dans une salle d’attente. L’air inquiet Skinner fait les cent pas autour de la petite table basse qui orne la salle. Un médecin sort du bloc opératoire, et se dirige vers les deux hommes.

Medecin : Messieurs ! L’agent Mulder a supporté l’opération, tout s’est bien passé. Dans une heure ou deux il se réveillera. Je dois vous laisser.

Skinner : (serre la main du medecin) Merci docteur.

JEUDI 16 NOVEMBRE 2000

Le médecin arrive dans la chambre de Mulder. Quand il la voit rentrer celui-ci se relève péniblement.

Mulder : Bonjours docteur !
Médecin : Bonjours Mr Mulder ! Comment allez-vous ce matin?
Mulder : Oh ça va ! ça me tire un peu, mais c’est supportable.

Le médecin commence à l’ausculter. La balle qui a touché Mulder à traverser de par en par le bas de son ventre.

Médecin : La cicatrisation à l’air d’être bien partie. Il faut simplement surveiller à ne pas que la plaie s'infecte. Dans deux jours vous pourrez rentrer chez vous.

Mulder : Merci Docteur. Je voulais savoir si…

Il est interrompu par l’arrivée d’un autre médecin.

Médecin 2 : Chérie ?
Médecin 1 : (s’approche de lui) Oui, qu’est ce qu’il y à ?
Médecin 2 : Tu finis ton service dans combien de temps ?
Medecin 1 : Je suis de nuit aujourd’hui.

Le médecin 2 sort de la chambre, pendant que le médecin de Mulder retourne à son chevet.

Mulder : C’était votre mari?

Médecin : Euh ? Oui…enfin mon ami, nous nous sommes connus lors de mes études de médecine, mais nous sommes pas mariés.

Mulder : Hummm ! !

SAN DIEGO
UNE SEMAINE PLUS TARD

Mulder marche péniblement dans les couloirs de l’hôpital. Il arrive à l’accueil et sourit à une hôtesse.

Mulder : Excusez moi, je voudrais voir le docteur Scully, s’il vous plaît. Elle m’a soigné la semaine dernière.

L’hôtesse appelle Scully par le haut pâleur pendant ce temps Mulder s’assoit sur une chaise d’attente, pour se soulager de sa douleur.

Quelques minutes s’écoulent, Scully arrive face à Mulder.

Scully : Monsieur Mulder !, Que vous arrive-t’il ?
Mulder : Ma blessure ne se referme pas, et continue à me faire mal.
Scully : Suivez moi dans mon bureau je vais vous ausculter.

À TOUT JAMAIS, PARTIE 2
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