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HOLD-UP A LA BANQUE DE MONSIEUR HENRI

 

Par une nuit de printemps lorsque Marie ,11ans, entendit des coups de feu dans la banque de Monsieur Henri  celle-ci est devant chez elle. Elle se précipita à sa fenêtre et vit un camion bleu partir à toute vitesse. Des billets tombaient. L’alarme se mit en route. Ensuite tous les gens du quartier se réveillèrent et se précipitèrent à leur fenêtre. Le matin même, Marie se dépêcha de préparer son cartable et elle finit ses devoirs. Elle alla à l’école. Elle aperçut Mickaël, 12 ans  et Bernard, 10 ans, et aussi d’autres enfants  dans la cour. Elle leur dit pour se rassurer : « Cette nuit, à la banque de Monsieur Henri, il y a eu une attaque à main armée » La maîtresse les appela. Les enfants vinrent dans la classe d’anglais qui se situe derrière la cour. Marie et Bernard étaient à côté et ils préparèrent un petit  bout de papier où il y avait une petite phrase. C’était écrit : « On doit se rendre au Parc de la Tête d’or à 19h30 demain. » La maîtresse vit Bernard lancer le petit bout de papier à Mickaël, le ramassa et dit à Bernard :  «Tu auras vingt fois ; je ne lance pas de bouts de papier en classe »

Le lendemain, ils se rendirent au parc car c’était leur lieu de rendez-vous et ils décidèrent de mener l’enquête.

 Le samedi matin, ils prirent leur bicyclette et allèrent à la banque. Les enfants passèrent devant la boulangerie et virent le facteur. « Bonjour ! dirent les trois enfants

—Bonjour les enfants, ça va ? dit le facteur » et ils continuèrent leur chemin. Ils arrivèrent devant la banque. La porte était ouverte mais Monsieur Henri n’était pas là. Ils trouvèrent un bout de papier avec un numéro de téléphone écrit dessus : 09.04.66.33.17. Les trois enfants allèrent chercher dans le bottin mais ils ne le trouvèrent pas. Ils allèrent à la poste. Les enfants le trouvèrent sur le minitel Ils essayèrent de téléphoner mais c’était celui de la chambre 17 de l’hôpital. Elle était occupée par M. Durant.  « Excusez-nous de vous avoir dérangé dit Marie. » Ils repartirent en se disant :  « Nous avons échoué, nous sommes des nuls !

—Cet indice n’était donc sûrement pas une bonne idée, dit Mickaël »

Nous étions dans une impasse. C'est alors que nous avons pensé à notre instituteur de cours préparatoire, M. Matlin. C'était un grand bricoleur qui travaillait souvent dans son atelier et, depuis qu'il était à la retraite, il consacrait son temps à construire des robots. Justement il venait d’en finir un petit policier dans son atelier. Il lui donna le nom de ‘Robot Détective 009’.

Ils se précipitèrent chez M. Matlin et lui demandèrent «Avez-vous un petit androïde qui a l’air d’un détective ?

   Oui, J’ai fini ce robot il y a quelques minutes à peine, dit M. Matlin

   A quoi ressemble t il ?

   Comment s’appelle t il ? dit Marie

   Je l’ai appelé ‘Robot Détective 009’

Il avait une casquette et une loupe. Il ressemblait à Sherlock Holmes. Les enfants acceptèrent qu’il leur prête et ils allèrent dans la banque. 

Quand ils arrivèrent, ils inspectèrent les lieux. Mickaël, Bernard et Marie ne trouvèrent rien, c’est alors que ‘Robot Détective 009’ trouva un pansement avec su sang. Ils emportèrent le pansement au laboratoire. Deux heures plus tard, ils trouvèrent à qui appartenait le sang.  C’était celui de M Sissquilleur. Tandis que Bernard téléphonait à la police, les autres partirent chez le bandit. Le robot les guidait. Il conduisit les policiers et les enfants chez le voleur puisqu’il avait cambriolé la banque. Ils défoncèrent la porte. Les policiers crièrent : « Nous vous arrêtons pour le vol à la banque de Monsieur Henri. Il avait volé cet argent pour acheter de la drogue. Il eut quinze ans de prison. Mickaël, Marie et Bernard eurent leur photo dans le Progrès et dans le journal et ils rentrèrent chez eux grâce au robot.

Laura, Alexis et Virginie