Une femme âgée se présente dans une grande banque parisienne, transportant un gros sac. Elle insiste auprès de l'employé au guichet pour parler au directeur: "vous comprenez", explique t-elle, "il s'agit d'une grosse somme d'argent, toute une vie d'économies. Et je voudrais être sûre du placement que je vais réaliser dans votre établissement..."
Le personnel de la banque, après quelques minutes d'hésitation, introduit finalement la petite dame dans le bureau du Directeur. Celui-ci demande aussitôt: "alors ma bonne dame, quelle somme projetez-vous de déposer chez nous ?" Elle répond: "Un million et demi de nouveaux francs en espèces !".
Le directeur est pour le moins interloqué et ose demander à son interlocutrice l'origine des fonds. La vieille dame explique: "c'est le fruit d'un an de pari. Je suis une parieuse professionnelle."
Le Directeur, piqué d'intérêt,
poursuit: "Des paris ? Et quel genre de paris ?"
La dame se confesse: "Je fais toute sorte de
paris étonnants. Par exemple, je vous parie 200.000 francs que vous
avez des testicules carrés."
Le Directeur répond que c'est là
le pari le plus stupide qu'il ait jamais entendu. Ce à quoi la dame
rétorque: "Alors, vous acceptez ?" Il répond: "Bien sûr,
200.000 francs que mes testicules ne sont pas carrés !"
La dame demande alors: "Comme il s'agit d'une
somme importante, j'aimerais amener mon avocat pour qu'il dresse un constat
écrit de la vérification que nous effectuerons. Lundi prochain,
c'est possible ?"
Le Directeur, hilare, accepte le rendez-vous et
l'avocat ! Le lundi suivant, la petite dame et son avocat se présentent
au bureau du directeur.
Elle répète le pari de manière
officielle: "Je vous parie donc 200.000 francs que vos testicules sont
carrés."
Le Directeur baisse son pantalon et la dame demande: "Puis-je vérifier de plus près ?" Il accepte, songeant qu'au vu de l'âge respectable de la parieuse, cette scène ne prêterait à aucune équivoque. Elle s'approche et commence à palper les parties de son adversaire pour conclure: "je dois admettre que ces testicules là ne sont pas carrés... J'ai perdu."
Le Directeur pousse un grand "ouf" de soulagement et, au même moment, l'avocat s'effondre sur un fauteuil comme pris d'un malaise. Souriant mais surpris, le Directeur demande: "Mais qu'est ce qui arrive à votre avocat ?"
"Rien du tout", répondit la petite dame,
"mis à part le fait que j'ai parié 500.000 francs avec lui
qu'aujourd'hui, à 11H du matin, je tiendrais le Directeur de la
Banque nationale par les couilles."
Cher ami,
Je suis toute émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre jour que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à montrer
mon
affection toute désintéressée
et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir ainsi
vous dévoiler, sans artifice, mon âme
toute nue, daignez me faire visite,
nous causerons et en amis franchement
je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde, comme la plus étroite
amitié, en un mot : la meilleure épouse
dont vous puissiez rêver. Puisque votre
âme est libre, pensez que l'abandon ou
je
vis est bien long, bien dur et souvent bien
insupportable. Mon chagrin est trop
gros. Accourrez bien vite et venez me le
faire oublier. A vous je veux me sou-
mettre entièrement.
Georges Sand
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sur deux.
En sortant de l'école, un gamin de 8 ans rentre chez lui avec son ballon de foot sous le bras. Sur le chemin, il passe devant une petite fille du même âge et ne peut s'empêcher de la narguer: "Ah vous les filles, vous n'aurez jamais de ballons de foot. Car c'est juste pour les garçons..."
La petite fille rentre en pleurant à la maison et se plaint à sa mère. La maman, du genre MLF, s'en va immédiatement acheter un ballon à la petite fille qui, ravie, attend le lendemain avec impatience.
Le petit garçon repasse bien devant elle le lendemain mais sur un vélo tout neuf. Il lance à la gamine: "T'as peut-être eu un ballon mais jamais tu n'auras de vélo comme le mien. C'est un vélo de garçon ça..."
La petite fille retourne précipitemment chez elle pour se plaindre à sa mère. Celle-ci, comme la veille, n'hésite pas à prendre sa voiture pour aller acheter un vélo neuf à sa fille chérie.
Le lendemain, en repassant devant la petite fille, le gamin s'énerve en constatant qu'elle a réussie à obtenir un vélo neuf. Et, énervé, il baisse son pantalon en disant: "Ca au moins, aucune fille pour en avoir un pareil... C'est pour les garçons !"
La petite fille rentre une nouvelle fois en pleurant chez elle. Et le lendemain, le petit garçon repasse devant elle avec fierté en lui demandant: "Alors il y a des chose que ta maman ne peut pas t'acheter... T'en auras jamais !"
Et la gamine, soulevant sa jupe et exhibant ses
parties intimes, répond: "Tu devrais mieux la fermer. Ma mère
m'a dit que tant que j'avais ça, je pourrais en avoir autant que
je voulais..."
Une religieuse entre dans un taxi et demande:
"Je voudrais aller à la Place de la République..."
Avec son accent parisien, le chauffeur répond:
"Ca fait un bout de chemin, dites donc... Ca ne vous dérange pas
qu'on cause un petit peu ?"
La soeur, aimable: "Non mon fils... De quoi voulez-vous
qu'on parle ?"
Le chauffeur: "Ben, vous savez, c'est à
propos du célibat que vous êtes obligée de respecter.
Ca ne vous a donc jamais traversé l'esprit de..."
Sans s'offusquer, la religieuse répond:
"Vous savez, nous ne sommes que de faibles humains faits de chair. J'y
ai pensé deux ou trois fois dans mon existence..."
Le chauffeur poursuit: "Et aller plus loin que
le fait d'y penser. ça ne vous a jamais traversé l'esprit
?"
La soeur réfléchit quelques secondes:
"Hé bien, dans une circonstance exceptionnelle, si des conditions
très strictes étaient réunies, peut-être que..."
Le chauffeur intrigué demande alors: "Et
quelles sont ces conditions strictes dont vous parlez ?"
La soeur: "Il faudrait que l'homme soit catholique,
célibataire et bien sûr sans enfant..."
Le chauffeur se retourne alors brutalement: "On
peut dire que c'est votre jour de chance. Je réponds aux trois critères."
Et il ajoute: "Cela vous dirait-il de venir à
l'avant et de vous asseoir sur mes genoux ?"
La religieuse regarde alors autour d'elle et l'endroit paraissant discret, passe à l'avant du taxi. Après quelques longues minutes sur les genoux du chauffeur, elle revient s'asseoir à l'arrière. Le conducteur éclate alors de rire et déclare: "Ah ma soeur, je vous ai bien eue ! Je suis protestant, marié et j'ai trois enfants !"
Ce à quoi la soeur réplique, avec
une voix étrangement grave: "Ben, moi je m'appelle Bernard et je
vais à un bal costumé."
Un enfant de dix ans demande à son père: "papa, c'est quoi la politique ?"
Le père réfléchit un moment
et répond: "Prenons notre maison par exemple. Je suis celui qui
suis celui qui ramène l'argent donc appelle moi "le capitalisme".
Ta mère, elle, s'occupe des affaires courantes et de la vie quotidienne,
appelons-la "le gouvernement".
Nous prenons soin de toi et te montrons le chemin
à suivre, tu es donc "le peuple". Ton petit frère de deux
ans, ce serait plutôt la nouvelle génération, "l'avenir"
et la bonne, appelons la "la classe ouvrière". Voilà, ce
modèle te paraît-il clair ?"
Le fils répond: "En fait, je ne suis pas
sûr... Je vais y réfléchir !"
La nuit même, le jeune garçon fut
réveillé par les cris de son petit frère. Il se leva
et, entrant dans la chambre de son cadet, découvrit qu'il n'y était
plus. Arrivant dans la chambre de ses parents, il vit que sa mère
dormait profondément et que son petit frère portait une couche-culotte
dans un piteux état.
Alors qu'il regagnait sa chambre, il entendit alors du bruit venant de la chambre de la bonne et regardant par le trou de la serrure, il découvrit son père et l'employée de maison ensemble au lit. Il tenta de frapper à la porte, mais dans le vacarme ambiant, il ne fut pas entendu et retourna donc se coucher...
Le lendemain matin, au petit déjeuner,
il s'adressa à son père: "Papa, cette nuit j'ai enfin compris
ce qu'était la politique".
"Ah bon ?", répondit le père d'une
oreille distraite. "Et bien explique nous".
"Hé bien, Pendant que le capitalisme est
en train de baiser la classe ouvrière, le gouvernement dort paisiblement.
Dans le bruit général, personne ne se soucie du peuple et
l'avenir est plein de merde..."
Ray a un appel de sa copine blonde :
- Gloria : " J'ai un problème Ray, j'ai
besoin de ton
aide "
- "Qu'est ce qui se passe" demande Ray
- "J'ai acheté un puzzle mais c'est hyper
dur. Pas une
seule pièces ne va et je ne trouve pas
les pièces
principales."
- "Il doit représenter quoi ton puzzle" demande Ray.
- "C'est un grand coq" dit Gloria.
- "OK, j'arrive pour t'aider, à tout de suite",
Il roule donc jusqu'à la maison de Gloria.
Elle l'emmène dans la cuisine où
toutes les pièces
sont étalées sur la table.
Ray regarde rapidement et dit, "OK, Gloria, remets
les cornflakes dans la boîte"
Marianne