13 février 2002

Bon ! Allez-vous coucher les enfants.

Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu de mal de tête. Aucun depuis ma grippe en fait. Mais hier matin, je me suis levé avec une légère, très légère céphalée, que j'ai traîné toute la journée. Dans la soirée, ce n'était plus qu'une petite névralgie à laquelle je ne pensais pas la plupart du temps.

Puis, hier soir, suite à une conversation très excitante avec Jeune Lectrice sur le chat, j'ai décidé de me procurer quelques plaisirs solitaires avant de trouver le sommeil. C'est alors qu'en plein milieu de mes ébats, une vive douleur a commencé à me frapper dans la tête au rythme de mes battements de coeur. Je me suis arrêté évidemment. Mais je me suis malgré tout retrouvé avec une violente migraine qui s'est prolongée pendant encore une bonne demi-heure avant de s'atténuer suffisamment pour me permettre de trouver le sommeil. Inutile de dire que cela m'a inquiété un peu.

Je me suis réveillé quelques minutes au milieu de la nuit et le mal de tête était toujours présent. Ce n'est qu'à mon réveil ce matin qu'il avait disparu.

Cependant, j'étais encore émoustillé par ma conversation de la veille, et légèrement frustré par mon "coït interrompu", si vous me pardonnez l'expression. Profitant de mon érection matinale, et désirant en avoir le coeur net de toute façon, j'ai remis ça.

Après quelques minutes de masturbation seulement, la même chose s'est produite: de violents élancements dans la tête qui m'ont obligé à tout arrêter. À la fois frustré et inquiet, je me suis couché dans mon lit quelques minutes, sans que la douleur ne semble vouloir disparaître. Après environ une heure les élancements ont finalement diminué au niveau d'une légère céphalée que j'ai encore traînée toute la journée.

Alors inutile de vous dire que ce soir, je vais me tenir tranquille.

Vous comprenez quelque chose à cela vous ? Quelque chose de similaire vous est-il déjà arrivé ?

Je n'ai pas l'habitude de m'inquiéter pour ma santé. Alors ce genre de symptôme bizarre me déstabilise un peu. Cependant, je ne peux que faire confiance à mon corps, comme d'habitude, et croire que, quel que soit le bobo, il saura comment le régler.


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