26 janvier 2006

Bon, je me suis ouvert les veines. Accidentellement, bien sûr.

En fait, c'est en descendant un ordinateur d'une tablette que sa façade de plastique m'est restée dans les mains. Et moi, le con, ne voulant pas laisser la coûteuse machine se fracasser sur le plancher, j'ai tenté de la retenir, avec mon poignet.

Résultat ? Mon ADN décore maintenant le plancher de notre entrepôt. Remarquez que ce n'est pas une coupure très profonde. Le problème, c'est que c'est mon poignet droit, celui que j'appuie sur la table lorsque j'utilise la souris de l'ordinateur. Et comme c'est très sensible, ça complique un peu les choses.

Mais bon. Dans quelques jours il n'y paraîtra plus.


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