5 janvier 2009
Pour ce premier billet de l'année, je profite de l'occasion pour vous souhaiter à tous et toutes la plus merveilleuse des années. Que tout ce qui va bien dans votre vie continue de bien aller, et que tout ce qui va moins bien s'améliore. :)
Je me souhaite bien sûr qu'il en soit de même pour moi. ;)
Je dormais lorsque nous sommes passés à la nouvelle année. Lorsque je me suis lever le premier janvier, j'ai entrepris ma petite routine habituelle: allumé la télé, préparé mon déjeuner, allumé mon ordinateur pour voir s'il y avait quelque chose dans ma boîte postale. Il y avait bien quelque chose. Un petit courriel de la collègue avec qui je m'entend si bien, daté du premier janvier à minuit et une minute.
Elle est tellement gentille, la collègue avec qui je m'entend si bien. :)
À part ma famille, je n'ai vu personne d'autre dans le temps des fêtes. Copine n'a plus sa voiture, alors c'était compliqué pour elle de venir ici. Quand à moi, je vais essayer d'aller faire un tour chez elle en fin de semaine prochaine. Lola m'a appelé aussi, on avait parlé de se voir lorsque son contrat serait terminé. Elle est une des rares personnes sur cette terre pour qui j'accepte d'aller me faire chier dans le cancer Montréalais.
Et puis j'ai eu une drôle d'idée aujourd'hui. La collègue de mon ami d'enfance avait fait parvenir un courriel en septembre à tout son carnet d'adresse pour nous informer de son récent déménagement. J'ai été surpris de voir que mon adresse de courriel faisait encore partie de sa liste. Surpris aussi de voir que mon ami d'enfance, lui, n'y figurait plus.
Quoi qu'il en soit, j'ai décidé de lui envoyer un message aujourd'hui, je ne sais trop pourquoi. Je lui ai souhaité la bonne année, l'ai informé de ma nouvelle vie (elle m'enviait d'avoir la possibilité de prendre une retraite anticipée) et lui ai demandé de ses nouvelles. Nul doute qu'elle est toujours aussi occupée qu'avant, alors je n'attend pas une réponse rapide. Voilà plus d'un an que nous ne nous sommes pas vu.
Et puis la plus récente nouvelle: C'est maintenant confirmée, Lolita est revenue ici. Elle va habiter chez ses parents avec ses deux enfants le temps de se trouver une maison dans les parages. Le camion de déménagement est arrivé en fin de semaine, et Copine m'a appelé pour savoir si je voulais aller avec elle pour aider la nouvelle venue à s'installer. J'ai préféré décliner l'invitation. C'est trop tôt. Trop tôt pour la revoir tout de suite.
Il y a bien des femmes que j'ai perdu de vue depuis moins longtemps et auxquelles je ne pense plus du tout. Tristement, c'est le cas de Nikita. Mais Lolita, elle, a toujours continué à me trotter dans la tête, même après six ans. Force est de constater que malgré les conflits, les différences d'opinions et les points de vues diamétralement opposés face à la vie, il n'en demeure pas moins qu'il y a toujours eu une connexion entre nous, un lien spécial. Un lien qui peut être tout aussi dangereux que bénéfique.
Comme je l'ai déjà dit, la dernière chose dont j'ai besoin ces temps-ci, c'est d'une attache de plus pour me retenir ici.