PILLEUR DE BANQUE

Tous les vendredi matins à 9h31, Nadège, Paul et Didier avaient une interrogation écrite sur les animaux et sur la grammaire avec la maîtresse qui était la mère de Nadège. Après, ils faisaient des mathématiques sur les fonctions décimales. Quand ce fut l’heure toute la classe de Mme Marguerite alla en récréation pour se détendre. Tout le monde entendit "Pan !" et les enfants se mirent sous le préau. Ils crurent que c'était une collision entre deux voitures, alors, ils ne s'inquiétèrent pas. Sauf Didier et Paul, les deux frères jumeaux, qui avaient entendu que c'était dans la rue de la banque; là où leur père travaillait. Il était au guichet de la banque du quartier. Alors, ils crurent que c'était un hold-up comme à la télévision. A ce moment-là, la maîtresse des CM1,CM2 frappa dans les mains et tout le monde se mit en rang devant elle. Toute la matinée, Paul et Didier pensèrent à leur père adoré. Quand la sonnerie de l’école retentit, tous les écoliers qui lisaient ou écrivaient sortirent puisque c’était l’heure de rentrer chez eux. Paul et Didier se posèrent des questions qu’il ne se posaient pas d'habitude:
" Est-ce que tu crois qu'il y a eu un hold-up à la banque ou un accident? dit Didier
— Je ne sais pas, mais c'est possible qu’il y ait eu un hold-up, répondit Paul "
Les deux enfants allèrent chez eux et quand ils arrivèrent, il y avait la police judiciaire devant chez eux. Les policiers posèrent des questions à leur père : " Pouvez-vous nous décrire le visage du voleur inconnu.
— Non, il était cagoulé et il avait aussi des gants en cuir. J'ai juste vu qu'il avait les yeux bleus.

— Pourquoi l'alarme du coffre fort ne s'est elle pas déclenchée lorsque que le voleur est arrivé afin qu’il puise se faire arrêter?
— J'étais justement en train de téléphoner au réparateur d’objets électroniques mais le voleur est arrivé."
Paul et Didier allèrent voir leur père et lui dirent : "Qu'est ce qu'il y a eu à la banque ? dit Didier.

— Nous avons entendu des coups de feu de l’école, dit Paul.
Il y a eu un hold-up ? reprit Didier
Le père répondit : " Oui, il y a eu un hold-up. Il m'a tout volé, même les lingots d'or qui étaient dans le coffre-fort qui était fermé avec une combinaison chiffré. Maintenant, la police va devoir mener une enquête qui risque de piétiner. “Ensuite, pour se détendre, les deux enfants et leur père allèrent manger dans la cuisine du sous sol.

L'après-midi vers 1h30 après qu’ils eurent mangé Didier et Paul allèrent à l'école. Tous les élèves de Mme Marguerite ainsi que les autres élèves étaient déjà rentrés en classe. Les deux frères s'installèrent sans faire de bruit. Ils ouvrirent leur livre de français à la page 182. Ils firent beaucoup d'exercices et ils allèrent en récréation. Didier et Paul allèrent voir Nadège. Ils lui dirent : " Il y a eu un hold-up à la banque de mon père. Nadège fut surprise. Les enfants réfléchissaient, lorsque, soudain, Nadège sauta de joie et dit : "Si on menait une enquête personnelle Les trois enfants acceptèrent immédiatement.

— Donnons-nous rendez-vous ce soir à 20h50 devant la banque, dit Paul.
— D'accord ! dirent Nadège et Didier
La journée passa très rondement. Les enfants rentrèrent chez eux et firent leurs devoirs du soir ; lorsque tout à coup l'horloge sonna huit coups, il ne restait plus que cinquante minutes. Ca y est c'est l'heure ,leur père était déjà au lit ,les deux frères en profitèrent pour descendre au rez de chaussée .sans le réveiller. Nadège les attendait ,elle était partie derrière la banque pendant que sa mère corrigeait les cahiers des élèves alors, elle devait se dépêcher!. Nadège dit
"Cherchons une preuve et surtout des indices dans la banque.
—Oui mais ce sera dure parce que les policiers ont peut être emmené des indices qui auraient pus nous aider .Mais nous pouvons essayer , dit Didier "
Les trois enfants allèrent dans la banque et commencèrent à chercher. Une demi-heure plus Paul s’écria: “J’ai trouvé une clé je crois qu'il y a écrit qu'elle vient de chez le serrurier de la rue du théâtre mais je ne sais pas où c’est.
_ Je crois que c'est vers la poste, dit Nadège.
_ Nous irons voir demain, maintenant, allons nous coucher"
Le matin, les deux frères allèrent chercher Nadège. Elle les attendait avec impatience. Ils étaient en vélo. Ils allèrent à la poste et ils rencontrèrent Mme Poipoi, M. Vivi. Ils demandèrent au facteur du coin où était la rue du théâtre. Le facteur leur dit " J'allais justement y aller, je vous montrerai où c'est." Les enfants suivirent le facteur. Ils arrivèrent à la rue du théâtre. Ils trouvèrent facilement la serrurerie. C'était un très grand magasin. avec plein de serrures; Ils eurent beaucoup de mal à trouver un marchand. Ils lui demandèrent s'il avait vendu une clé comme celle-ci, et il répondit :"Je n'en ai pas vendu depuis au moins dix ans. Je ne me rappelle plus à qui je l'ai vendue, mais je peux chercher dans le fichier de l'ordinateur. J'ai trouvé : c'est le banquier qui m'a acheter cette clé pour la serrure de son placard. "

Nous étions dans une impasse. C’est alors que nous avons pensé à notre ancien instituteur de C.P. M. Lulu. C’est un grand bricoleur et depuis qu’il était à la retraite, il consacrait son temps à construire des robots. car il ne lui restait plus rien à faire Justement, il venait de finir un petit robot policier. donc nous avons pensé à aller chez lui Les enfants allèrent chez l'instit. Ils rencontrèrent beaucoup de monde. Ils demandèrent à M. Lécolo où habitait M.Lulu et il répondit : "Il habite à la route de Tarare, ce fou de bricolage Il faut passer par la route de Feurs!
—Merci, M. Lécolo , dirent les enfants ."
Quand les enfants arrivèrent, M. Lulu était en train de régler un nouveau robot, Roboliliche. Les enfants allèrent le voir parce qu’ils voulaient l’observer de plus près et Paul dit :"Super, un robot policier. Comment s'appelle-t-il ?
—Roboliliche, l'inspecteur 009 ! répondit M.Lulu"

Le robot avait une casquette du genre Sherlock Holmes, comme à la télévision, deux antennes à la place des oreilles, une vieille loupe, une grosse bouche avec une grille devant, un gros ventre en ferraille et des yeux faits avec deux billes bleues. Nadège dit :"Comme vous le savez sûrement, la banque a été cambriolée, et comme le père de Paul et de Didier est le banquier, nous avons décidé de mener une enquête dans la plus grande discrétion, mais le premier indice que nous avons trouvé nous a mené sur une fausse piste. Comme nous savions que vous avez fini un robot policier, nous pensions que vous pourriez nous le prêter le temps de retrouver le voleur. Surtout, ne dites rien à personne, sinon, on se fera gronder
— D'accord, mais seulement jusqu'à demain à 8h pile, répondit M Lulu
Paul s'écria :" Comment allons-nous parler avec lui ?
— Il sait parler le français et l'anglais!"
Les enfants prirent le robot et dirent "Au revoir" à M.Lulu. Tandis que les enfants s’éloignaient, joyeux, M. Lulu s’inquiétait pour son robot Le robot n'arrêtait pas de parler, il disait :"Où a-llons- nous, où a-llons nous ?

_ Nous allons chercher des indices, répondit Nadège."

Il trouva beaucoup d'indices comme les cheveux bruns très courts. C'était ceux de Jean-Louis Marka le coupable. Les enfants cachèrent le robot dans la cave jusqu'au lendemain.

A huit heures, les enfants tout heureux redonnèrent le robot à M.Lulu. Les enfants allèrent voir Jean-Louis. Ils savaient bien où il habitait car c'était leur prof de gym. Ils appelèrent la police. Elle arriva tout de suite. Ils arrêtèrent Jean-Louis pendant 3 ans et demi. Les billets retournèrent à la banque. grâce à leur courage Quant à nos héros, ils furent récompensés par une médaille.

Sylvain et Audrey

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