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DROLE DE VOL POUR UN CAISSIER

L’année dernière, en hiver, il faisait très froid car la température était de -2 degrés. Marc Lano, le caissier, subit quelque chose de terrible. Un criminel s’était caché dans la banque à côté de la caisse qui se trouvait entre deux plantes. Quand Marc Lano arriva, il se fit surprendre par l’agresseur qui lui braqua un revolver sous le nez tandis qu’il était dans la lune.  Emilie arriva et regarda par la fenêtre à grands carreaux qui se trouvait sous une petite porte. Elle eut très peur car  c’était son père qui était en danger. Pendant la récréation, Emilie affolée expliqua tout à ses meilleurs copains, Paul et Jean. Elle leur dit: “Mon... Mon père a été cambriolé, j’ai tout vu par la fenêtre mais je n’ai pas eu le temps de rentrer ! Il avait un revolver braqué sous le nez ! "

Paul et Jean ne disaient rien car ils étaient terrorisés à cause de tout cela. Ils ne savaient pas quoi faire, car c’était une situation désespérante pour eux. Quand ils arrivèrent à la banque, le voleur était déjà parti avec l’argent et le père d’Emilie était ficelé à une chaise. Il criait :

“A l’aide ! A l’aide ! J’ai été cambriolé ! ”

Le soir même, les enfants décidèrent de mener leur propre enquête comme de vrais agents de police. Jean dit : “Et si on prévenait la maîtresse des CE2

– Tu es fou, répondirent les enfants ! Nous avons dit que nous ferons notre propre enquête »

Le lendemain matin, les trois enfants décidèrent de se rendre à la banque, quand ils rencontrèrent monsieur Lano. Les enfants lui posèrent des questions lorsqu’il arriva vers eux, mais il était trop perturbé à cause de ce qui s’était passé la veille. Quand ils entrèrent dans la banque, ils cherchèrent un peu partout et Paul trouva des traces de pas un peu spéciales et il appela les autres:

« Hé ! Hé ! J'ai trouvé des traces de pas un peu spéciales ! ”Emilie Paul et Jean  suivirent les traces pour retrouver le criminel.

– Regardez, fit remarquer Emilie ! Les traces ne mènent nulle part ! Tout cela ne sert à rien. Allons plutôt interroger tous les gens que nous connaissons afin de résoudre l’enquête ! »

Les deux enfants  étaient d’accord. Un peu plus tard, quand ils finirent d'interroger tout le monde,  ceux-ci étaient désespérés. Soudain Jean dit :

«Mais non, il reste le voisin d'Émilie ! En plus, il a toujours des chaussures spéciales quand il va se promener et il est agressif. » Quand ils arrivèrent, ils lui posèrent des questions mais malheureusement ce n’était pas les mêmes chaussures car elles étaient plus grandes.

Nous étions dans une impasse. C’est alors que nous avons pensé à notre ancien instituteur de C.P. M. Guilemin. C’était un grand bricoleur et depuis qu’il était à la retraite, il consacrait son temps à construire des robots. Justement, il venait de finir un androïde policier Les enfants se rendirent chez lui et lui demandèrent de le leur emprunter.  Ils étaient pressés de voir ce fameux robot parce qu’ils voulaient de l’aide. Ils passèrent leur temps à penser qui pourrait être le coupable alors qu’il y avait une autre solution. Le lendemain matin, les enfants allèrent chercher le robot chez M Guilemin. Celui-ci les conduisit dans la salle d’informatique. Il dit que le robot s’appelait Glouton. M. Guilemin dit :

«  Il faut que je l’arrange un petit peu car il n’est pas encore prêt ! Revenez le chercher demain matin »

Glouton portait une loupe dans sa main. Il avait une casquette de détective sur laquelle était écrit en petits caractères «police 009 ». Il avait un haut-parleur à la place de la bouche et des antennes aux oreilles. Il était construit en acier sans une seule égratignure. Chaque fois qu’il trouvait un indice, il faisait "Big ! "Bip¨. Quand tous les quatre partirent de chez M Guilemin le robot dit :

«À... bientôt... M... Guilemin... ”

Les enfants rirent et dirent : « Alors, que fait-on, Glouton ? 

–Allons... à... la ... banque... chercher... des... indices… puisque...nous…sommes…ici ! » leur répondit le robot

Paul, Jean et Émilie les suivirent. Arrivés à la banque, ils trouvèrent une lettre dans un tiroir donc ils étaient sur la bonne place piste. Cette lettre indiquait : «J’ai volé cet argent chez vous et à la place je veux l’ancienne moto de M Lano et si vous voulez retrouver votre argent vous n’avez qu’à venir tout seul à l’aéroport avec la moto mercredi après-midi.

— Je pense qu’il n’y a pas de signature ! dit Émilie

— Évidemment !  répondit Paul

— Bip ! Bip ! Il y avait une cagoule verte avec la lettre dit le robot »

 Il fallait continuer la route pour chercher d’autres indices. Ils marchaient trop vite et Émilie se perdit dans une ruelle. Elle prit peur car elle ne connaissait pas cette rue. C'était sinistre. Les trois enfants se rendirent compte qu'Émilie avait disparu, mais Glouton retrouva ses traces et la rejoignit. Émilie sauta de joie. Le robot entendit les voix qui venaient d'une vieille maison. Tous les quatre y entrèrent discrètement. Ils entendirent : «  Mercredi, j'aurai la moto contre l'argent. Hi ! Hi ! »Paul ouvrit la porte d'un geste brusque. Le voleur sursauta. Il dit «Que faites-vous ici ? Bande de petits gamins ! »

Le robot donna les menottes à Jean et attaqua le voleur. Puis, il enleva le masque que le cambrioleur portait. Les trois enfants dirent :

"C'est M.Salamit, le boucher ? :

— Oui…et…maintenant…mettez…lui…les…menottes…" répondit Glouton

Émilie, Paul, Jean et Glouton l'emmenèrent au commissariat et il se retrouva en prison. Maintenant que l'enquête était résolue grâce à Glouton, nous rapportâmes Glouton chez lui. L’enquête était résolue. Arrivés là-bas, M. Guilemin dit :

« Il a l'air de vous aimer, alors je vous en fais cadeau ! »

Le soir, quand ils s'endormirent, ils rêvèrent de l'aventure qu'ils avaient passée et Glouton dormait entre les enfants Morgane, Yan et Denis

 

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