31 août 2001

Bon ! Ce qui devait arriver arriva. Écoeuré et exaspéré de la merde que me fait subir Chez.com, j'ai décidé encore une fois de changer d'hébergeur pour mon site. Mais au lieu de tomber dans le piège des fournisseurs de service les plus connus, dont les problèmes viennent souvent du fait qu'ils acceptent d'héberger un nombre de site supérieur à ce que leur infrastructure permet de supporter, j'ai fait une petite recherche pour trouver un hébergeur peu connu et pas piqué des vers en terme de service et de performance.

Alors pour ceux et celles qui viendraient tout juste de me retrouver, n'oubliez pas d'aller lire mes billets du 17, écrit avant mon départ, de même que ceux des 29 et 30, écrits à mon retour de voyage.

Nous revoilà donc entre nous.

J'avais prévenu mes collègues de travail que je rentrerais au boulot soit le 30 août, soit après la fête du travail le 4 septembre. Le beau soleil qui brillait hier matin m'a convaincu de choisir cette deuxième option. Et non, je n'avais pas encore eu assez de soleil malgré mes cinq jours sur les plages de Cape Hatteras. J'ai quand même profité de mon avant-midi d'hier pour abattre un nombre impressionnant de petites besognes que je remettais toujours à plus tard depuis trop longtemps. Entre autres, je suis allé me faire photographier pour renouveler mon passeport, ce qui me sera nécessaire si je veux retourner à Cuba cet hiver.

Avec Lolita.

Je sens que ma relation avec elle risque de prendre une étrange tournure dans les prochaines semaines.

Nous sommes allés à un cinq à sept hier soir. Elle avait invité une de ses amies, que j'avais vu à sa fête et que j'avais trouvé à mon goût, dans l'intention de nous permettre de faire plus ample connaissance. Nous avons peu parlé finalement, les circonstances ne s'y prêtant guerre, mais Lolita montrait visiblement des signes de malaise à mon endroit.

Une mise au point se révélera nécessaire dans un proche avenir je crois.

Et moi, il me faudra clarifier mes sentiments face à elle. Avant le voyage, c'était très clair dans ma tête. Maintenant, ce n'est plus aussi sûr.

Peut-être que la même chose s'est produite pour elle.

Encore des complications. Ma vie est un noeud gordien.


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