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Elio Flesia

Chargé de recherche J au CNRS


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Informations personnelles

v          06/08/1947 : Naissance à Ostana (Italie)

v          1974 : Doctorat es sciences physiques (spécialité : chimie organique)

v          1979-1982 : Attaché scientifique à Houston (Etats-Unis)

v          1982-1990 : Chargé de mission aux relations industrielles du CNRS en régions Provence-Alpes-Côte-d'Azur et Corse

v          1991-1994 : Chargé du transfert de technologie à l'Institut Méditerranéen de Technologie (Marseille)

v          1994-1996 : Stage au Laboratoire d'Economie et de Sociologie du Travail (LEST) du CNRS (Aix-en-Provence)

v          1997-2001 : Chargé d'Affaires PME/PMI au Service du partenariat et de la valorisation de la Délégation régionale "Provence" du CNRS (DR 12) à Marseille

v          2001-2002 : Chargé d'Affaires à Méditerranée Technologies (association du type loi 1901, qui peut être présentée comme l’agence régionale PACA – Provence-Alpes-Côte-d’Azur – de développement technologique)

 

Appel à la solidarité et à la générosité publiques  : (j’ai un gros souci d’ordre privé)

Ma petite-fille Agathe est née le 19 juillet 2003 avec une agénésie du fémur et du péroné droits. Comme je veux qu’elle puisse marcher un jour et que des solutions chirurgicales existent (mais elles sont extrêmement coûteuses , de l’ordre de 150 000 Euros), je me suis résolu a faire appel au public et j’ai monté pour elle un site web. Je vous y invite et si vous pouvez faire un geste, aussi modeste soit-il, sachez que je vous exprime par avance toute ma reconnaissance par un grand… un très grand… un immense et chaleureux MERCI !

 

Situation actuelle

·        Je travaille officiellement depuis le 1er décembre 2003 (réellement, depuis mars 2003) pour l'Université de Provence (Aix-Marseille 1). Rattaché à la Division de la recherche, plus spécialement chargé du suivi et du développement des partenariats (valorisation de la recherchence, relations avec le monde socioéconomique au sens large). Je continue évidemment dans ce cadre à exercer mon métier de "technology scouting" – cf. plus bas – et je suis également, depuis 2004, l'animateur de la Maison de l'Entrepreneuriat de Provence.

·        Je poursuis mes travaux de recherche sur les ressorts (et les blocages) sociologiques, "politiques" et psychologiques de l'innovation au sein de l'Université Aix-Marseille 3 – CRRM (Centre de Recherche Rétrospective de Marseille ; laboratoire spécialisé dans les sciences de l'information, la veille technologique, scientifique et stratégique ainsi que l'intelligence économique). Cette activité est destinée à se ralentir progressivement et s'arrêtera à terme (cf. paragraphe suivant).

·        Je délivre en outre des enseignements sur le transfert de technologie dans différentes filières de formations universitaires, d'écoles d'ingénieurs et de commerce. Je suis en train de me dégager progressivement de cette activité qui ne me semble pas être vouée, hélas ! à un grand avenir en France – je me suis senti obligé d'ajouter "hélas" car les futures générations de petits Français et notre économie nationale, auront un jour à regretter cette erreur, cette faute dont ma génération se sera rendue coupable envers elles. Afin que tout cet acquis ne passe en pertes et profits, la philosophie et le contenu général de mon cours (sans les supports) sont téléchargeables ici : mon cours sur le transfert de technologie.

·        Mes domaines d'expertise : le "technology scouting" (désolé pour l'anglais, mais ce métier ne semble toujours pas exister en France), l'innovation, les technologies avancées, la veille stratégique, l'intelligence économique, le transfert de technologie – à travers la pratique de transferts de technologies réels – ainsi que la création d'entreprises à partir de la recherche.

·        Je suis ouvert à toute proposition et me tiens en à disposition de tout partenaire intéressé par mon profil. Bien entendu, j'examinerai avec la plus grande attention toute proposition de fonctions dans le domaine de la valorisation de la recherche, les relations industrielles, la création d'entreprises de technologies avancées, l'innovation et, de façon générale, à la charnière entre le monde de la recherche publique et celui des entreprises. Comme je viens d'avoir 60 ans la proposition précédente n'a plus lieu d'être telle quelle. Je reste cependant toujours ouvert à toute discussion avec n'importe qui et sur n'importe quel sujet d'avenir. J

Activités connexes

·        Membre du Réseau de Développement Technologique régional et ancien correspondant du Centre Relais Innovation européen MedIN (en abrégé, le CRI MedIN).

·        J'ai été l'un des fondateurs du CRITT Chimie-Plastiques-Matériaux PACA et, pendant 20 ans, membre de son Conseil d'administration où j'étais l'un des trois représentants de l'Etat (CRITT = Centre Régional d'Innovation et de Transfert Technologique). L'âge avançant, j'ai décidé de passer la main en 2007 : place aux jeunes !

·        Je dois encore être (pour n'avoir jamais reçu de notification contraire à ce propos) membre du Comité d'orientation scientifique et technique (COST) du CRITT Agroalimentaire PACA (l'activité du COST semble être en sommeil depuis plusieurs années).

Quelques commentaires et quelques liens intéressants

Après plus de 25 ans passés dans différentes fonctions de valorisation de la recherche, de transfert de technologies vers les entreprises et d'appui à la création d'entreprises – activités que je poursuis toujours –, je continue ma réflexion sur les problèmes que rencontre la valorisation de la recherche publique en France et sur les moyens qui seraient à mettre en oeuvre pour que la situation s'améliore. Le constat – largement partagé par de nombreux autres acteurs (cf. les innombrables rapports, livres et colloques sur ce thème depuis plus de 25 ans) – de faible efficacité globale du dispositif national de valorisation de la recherche publique m'a poussé depuis longtemps (depuis 1983, donc bien avant que ce ne soit devenu à la mode) à prôner une solution qui consisterait à accorder aux chercheurs publics une plus grande liberté en matière de création d'entreprise. Mais il s'avère que les chercheurs sont généralement des fonctionnaires ce qui fait planer sur eux le spectre du délit de "prise illégale d'intérêts". Vaste problème dans lequel nous sommes – malgré la loi sur l’innovation de 1999 (dite loi Allègre) – toujours plus ou moins englués. Si l'on n'apporte pas à ce problème un remède de cheval, il y a fort à parier que "la recherche française, publiée en anglais comme il se doit, continuera comme trop souvent par le passé à être lue par des américains et des japonais qui ne se gêneront pas ; les premiers pour créer des entreprises et les seconds pour industrialiser ; et ce sont des entreprises étrangères qui n'auront plus qu'à mettre nos résultats sur le marché" (ceci peut sembler être caricatural ; pourtant ces travers avaient déjà été dénoncés en ces mêmes termes voilà bientôt 25 ans). Les avis exprimés dans ce cadre sont des avis personnels qui ne reflètent pas nécessairement la position et/ou la politique du CNRS ; ce dernier ne saurait donc être engagé en aucune manière.
N’étant pas le seul à avoir fait ce genre d’observations de terrain, je persiste à appeler de mes vœux un passage – une véritable conversion – vers plus de transparence et moins de pensée unique, de langue de bois et d'autosatisfaction.

Un deuxième problème qui affecte le monde de la recherche est lié au conformisme de ses acteurs qui les rend incapables de prendre des risques intellectuels. Ce problème est vieux comme le monde et trouve ses causes dans la nature humaine et les formes sociales à travers lesquelles elle s'exprime ; mais il n'en est pas moins pernicieux. Or, la période actuelle ressemble, sous certains aspects, à la fin du XIXe siècle avant que les ondes radio, les rayons X, l'avion, l'atome, etc., etc. ne soient découverts. Nous sommes – peut-être – à l'aube d'une rupture scientifico-technique majeure à l'instar de celle qui s'est justement produite autour de 1886-1900 et dont les retombées ont façonné pour le meilleur et pour le pire le monde dans lequel nous vivons. Parenthèse : Internet est plein de sites (scientifiques ou pseudo-scientifiques – au lecteur de les chercher et se faire sa propre opinion) sur lesquels on trouvera des idées, théories ou autres bizarreries de la plus banale à la plus loufoque ou extraordinaire (comme pouvaient l'être au XIXe siècle l'idée que des objets plus lourds que l'air puissent voler, ou que des pierres puissent tomber du ciel, ou que l'on puisse un jour communiquer grâce aux ondes hertziennes, ou que l'on puisse un jour réussir à casser le noyau des atomes, etc. etc. etc.). Un site que j'affectionne particulièrement est celui de mon ami Jean-Pierre Petit qui a la réputation d'être un chercheur CNRS tout à fait hors normes et qui pourrait bien, un jour, révolutionner la vision que nous nous faisons de la structure de l'univers et de sa création. Fermons la parenthèse !

Dans la recherche, le conformisme a pour corollaires des horreurs telles que l'exclusion et/ou le harcèlement (de chercheurs, d’équipes, de laboratoires ou de thématiques de recherche), horreurs mineures car on ne brûle plus les hérétiques et la peine de mort a été supprimée ! Le lecteur qui serait tenté de penser que je fabule ou que je fantasme est prié d'effectuer quelques recherches sur Internet. Je me contenterai ici de lui fournir quelques liens vers des sites contenant des objets d'études ou des considérations tout à fait pertinents à mon propos (je ne cautionne pas forcément tout ce qu'ils contiennent) :

Bréviaire du chercheur (par Armel Le Bail).
Notes(par René Teboul) sur le livre de Judith Lazar "Les secrets de famille de l'université", Le Seuil édit. (collection Les Empêcheurs de Penser en Rond), Paris, oct. 2001, ouvrage relatif aux turpitudes du système universitaire français. Désolé ! Encore un lien qui a sauté. Aussi je renvoie le lecteur intéressé vers un autre site où il pourra en apprendre plus sur cet ouvrage.
Site de l'ACHP (Association Contre le Harcèlement Professionnel).
Les Saines Écritures,Une magnifique tirade contre l’hypermédiatisation des mandarins qui empêche la science de progresser.
Site du RESCIF (Recherche Scientifique Française).
Site de Pierre Lemieux (au Canada) ainsi que sa Déclaration de souveraineté individuelle.
Site de la République de Lomar (histoire d'élever un peu le débat… en attendant que les temps mûrissent). Voir aussi le site de sa Délégation en France. Cette organisation humanitaire, qui ambitionne d'être reconnue à terme comme ONG (Organisation non gouvernementale), m'a fait le plaisir et l'honneur de me confier la fonction de conseiller scientifique (novembre 2002). Dans ce cadre, nous sommes en train, avec le soutien précieux d'Emmaüs International, d'installer des éoliennes (de la société marseillaise Gallan Solaire) au Burkina Faso afin de contribuer à y apporter un peu d'autonomie énergétique pour notamment faciliter l'accès à l'eau des populations.
Site de l’« éco-sociétalisme » (afin de bien élever le débat. C’est un peu utopique – mais à peine – et les utopies sont peut-être les seules idéologies capables de faire avancer le monde sur les chemins tortueux du progrès en mettant une sourdine à ce qu’il y a de plus animal (dans le sens de bestial) en l’homme.

Quant au lecteur qui ne serait pas tout à fait hostile à l'idée de vraiment élever le débat – et qui supporterait d'être un peu décoiffé à l'occasion –, je l'invite à m'emboîter le pas. Ou plutôt, attachons nos ceintures car nous partons à la Recherche du Paradigme Perdu !

Pour terminer (mais peut-on vraiment terminer ?) : le lecteur qui se sentait complètement perdu et qui, souhaitant rester sur le plancher des vaches – mais quand même un peu au-dessus du niveau des pâquerettes –, pouvait, il y a quelques années, aller faire un tour sur un site web (intitulé à l’époque Fastoche.com, rien à voir avec le site actuel du même nom qui ne traite que d’informatique) qui a malheureusement disparu. Il y trouvait le moyen – gratis ! – de participer à une petite œuvre citoyenne, salutaire et urgente (actions auprès des hommes politiques ; comme les auteurs du site étaient inconnus, je ne cautionne rien d'autre que ladite petite œuvre qui me paraissait fort citoyenne ; puisse ce site renaître un jour de ses cendres) [en passant, sa disparition confirme qu’Internet est parfois un peu galère !].


Pour en savoir plus

·      Un pamphlet J : une analyse sous forme humoristique des avatars de la recherche publique française en matière de politique de valorisation. Le texte en est régulièrement réactualisé. La présente édition est la version 8.5 (décembre 2001).


Il va sans dire – mais il va mieux en le répétant plusieurs fois par écrit – que les constats faits par l'auteur, ses avis et opinions ne reflètent pas forcément ceux affichés officiellement – dans le passé, le présent ou l'avenir – par le CNRS. Toutes ressemblances ou similitudes seraient donc purement fortuites. Du moins presque purement fortuites dans la mesure où les individus et les organisations sont destinés à évoluer en permanence, les unes sous l'influence des autres. Sinon où serait le progrès ? En fait, et comme l'exprime de manière simple la sagesse populaire : il n'y a que les imbéciles qui ne changent jamais d'avis.


Comment me joindre : pour des questions, commentaires et suggestions

e-mail
elio2.flesialaposte.net

Site Web
http://www.chez.com/flesia/index.html

Téléphone
+00 33 (0)4 91 10 65 54 (GMT + 1)

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[Dernière modification de la page le 22/12/2007]

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