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Pour fêter le centenaire de l’AS Cannes, nous
nous déplaçons le 30 décembre dans
cette charmante citée balnéaire. Après
avoir hésité avec les tigris entre J9 et voitures,
c’est finalement en train que nous partons. Propre
et moi même, retrouvons dans le TGV, 3 boys, puis
4 à partir de Marseille. La France étant un
pays peuplé d’incorruptibles fonctionnaires,
(surtout quand on se rapproche du sud !) le voyage ne nous
coûtera qu’un billet dans la poche de l’un
d’entre eux.
Nous arrivons à Cannes vers 13h30, un petit coup
d’œil pour voir si rien ne tourne du coté
de la gare et nous partons en bus direction le stade Pierre
de Coubertin. Nous y retrouvons d’autres parisiens.
Il n’y a pas de parcage visiteurs et nous nous procurons
des billets en tribune populaire par le biais de la section
Nice des boys (merci à eux). Un autre petit coup
d’œil en tribune et au coup d’envoi sortent
en même temps que les fumis, les bâches Kriek
et Boys. (Les petites… surtout la notre !), vite rejoints
par un étendard LF.
L’ambiance est très moyenne, peu de chants,
quelques torches et sur le terrain, une véritable
démonstration : 5-0 pour nous. De quoi gâcher
la fête cannoise.
Fin du match, on ressort du stade direction le centre ville
en bus. Les plus courageux iront faire trempette, fumis
à la main, les autres préféreront la
photo sur les marches du palais des festivals. Le soir nous
nous retrouvons à 6 direction un pub près
de la gare où on sert de la Kriek et nous monterons
dans notre train direction Paris.
A 7 heures tout le monde n’est pas très bien
réveillés, mais nous sommes tous à
Paris. Voilà pour le dernier déplacement de
l’année où on nous promettait plein
de chose mais qui fut très calme.
NB : Bonne année à tous ! Salutations à
« Julien », « Christophe » et «
William »…
Alkaline
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