Lens - Paris SG 

 
Une fois de plus, nous pouvons remercier la LNF et canal + pour avoir mis ce déplacement un jeudi soir. Ce ne seront donc que deux kriek, Alka et moi (Kant), qui pourront s’y rendre. On réussit après pas mal de difficultés à trouver une voiture pour la ville du pas de calais. C’est donc dans une voiture cosmopolite, avec Auteuil et Boulogne mélangé, que nous partons. Tony, notre chauffeur, Max et Milie nous accompagnent.
Le rendez vous Porte maillot sera respecté par tout le monde et c’est à l’heure que nous entamons la route, rhytmés par les K7 de Oï, et la radio. Après un arrêt rapide au Quick sur l’autoroute, on arrive à proximité de Lens, et évidemment nous ratons la sortie. On se retrouve dans la campagne, et apparemment il est impossible de retourner sur nos pas sans passer par l’autoroute. Après avoir demandé à des autochtones, on reprend l’autoroute et on arrive dans la fameuse ville de Lens. Toujours aussi belle, on se gare, loin du stade, mais sur ce qu’on pourrait considérer comme la rue principale de Lens. Après avoir fait le tour du stade, on peut rentrer pour bâcher, bâche qui ne restera pas longtemps à sa place.
Plusieurs groupes arrivent in extremis, voir en retard ce qui explique, le coté improvisé de l’entrée des joueurs coté tribunes. Les chants sont repris par les noyaux sans plus, de notre coté, Alka et moi livrons une grande première mi temps, avec un Alka qui a failli rendre ses tripes à force de chanter. Coté lensois, comme d’habitude, bonne prestation des RT, le reste est très moyen. La deuxième mi temps voit une nouvelle baisse de régime niveau chant, si vous avez suivi, on partait déjà de pas bien haut. Mais sur le terrain nos joueurs assurent, et c’est le but qui nous permet un gros délire sur le grillage. Malheuresement on en prend un deux minutes après.
Après avoir attendu, les CRS nous escortent pour la traditionnelle balade en forêt, puis c’est la lutte pour retrouver la voiture (elle se ressemblent toutes ces rues ! ! ! ) et finalement on réussit à repartir. On finit nos bières, et on arrive à Paris, vers 1h30 du matin, l’heure de regagner nos lits parce que le vendredi, il y en a qui bossent, enfin pas tous…


Kant

 

 

 

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