Lille - Paris SG 

 
Lille, un mercredi, 5 Kriek (Willy, Propre, Dodu, Alka et moi) dans la Dodumobile pour un RDV à Montreuil. Départ super rapide avec 8 km de bouchons dès le départ sur l’A3. On décide alors, à l’unanimité, si, si, je vous jure, de prendre des petits chemins, des raccourcis quoi, ZI de Rosny, N3 de aussi bouchée que l’autoroute, plus divers autres passages . Enfin l’A1, on roule pépère, on n’ pas pressés, il fait beau, 8°6 à fond dans les oreilles… car ce soir c’est la guerre… on parle un peu quand même entre chaque chanson. On ébauche quelques sujets quand la musique reprend et qu’il est temps… de savater un gros moustachu. On écoute quelques musiques italiennes puis une petite pause sportive s’impose. C’est que nous, ça nous démange le sport. On a ça dans le sang et quelques groupes à Paris le savent bien. Un petit bedo , quand même avant et pendant aussi, ce qui aide l’imagination, mais pas la réalisation footbalistique. Et oui, on s’entraîne car dans quelques jours une rencontre, que dis-je, un affrontement se prépare (d’où la mise en avant de notre réputation énoncée quelques lignes plus tôt si tu suis bien le CR). Toujours le ballon en action, on s’entraîne à essayer foutre cette putain de balle (qui ne veut pas) dans le trou d’un jeu de plein-air pour enfants. Juste au cas où pour notre rencontre, il y aurait ce genre de choses sur le terrain. Allez, fin, après ¼ d’heure intense, gâteau de maman Willy, repos et bédo. On repart, une petite blague à Propre au passage et direction Lille pour rejoindre Kant. On passe notre dernière heure à jouer à « Attention à la marche », si, si c’est possible. Propre en sera le vainqueur. Bref, on arrive bien en avance. On fume, Kant arrive plus 2 LF et on va au stade sans billets. On poirotte (sans commentaire). On rentre quand même. Le secteur est plein . RAS côté Lillois, RAS sur le terrain. Côté visiteur une ambiance avec des hauts et des bas, des coups de matraques et des charges ponctués par l’arrestation de Viola qui prolongera son séjour lillois. Tout finira bien, on décroche la bâche et on attends… La fatigue s’installe pour les travailleurs du jour, et ceux du lendemain pense déjà à leur tournée (pas de commentaire, ah si, les krieks enculés, Yann enculé). On sort un par un entre deux rangés de RG et CRS qui piochent au hasard et fouillent. On rentre vite fait, Kant remplace Alka qui partira avec les LF qui très gentiement le laisseront travailler en paix!!


UDC qui ne partagera plus ses expériences de travail

 

 

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