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Très peu nombreux pour ce déplacement lointain
vers la principauté (un mardi ! ! !) et c'est donc
chez le Père Dodu que je me rends avant de partir
tous les deux (mais pas en amoureux !). La RATP s'en mêlant,
direction Orly à 5H30 du mat pour un paisible voyage
avec les joueurs de Créteil et JL Lamarche. Nous
débarquons à Nice à 11H00 puis à
Monaco 30 min plus tard. Découverte du stade, de
la ville (ouah, qu'est-ce que ça monte), du casino,
du circuit de F1…mais bon, on n'est pas là
pour parler tourisme et après un repas en bord de
mer (en février, quel pied !) on retourne vers le
stade où l'on finit par retrouver de vieilles connaissances.
On découvre ensuite le Louis II (première
fois pour tous les 2) et nous nous installons en attendant
le match. Côté tribune, après une première
mi-temps insipide avec 10 personnes qui chantent, rien de
bien terrible. Toutefois, l 'ambiance après la pause
sera bien meilleure contrairement au score. A signaler que
les ultras monégasques (ben ouais) connaissent les
fumis, mais un à la fois. On aura au moins appris
ça. Ensuite, c'est le retour de la section galérien
pour retrouver notre hôtel. Direction la gare ; tu
vois Père Dodu, en fait, il y a des rails mais fallait
les trouver ; pour retourner sur Nice où, en arrivant
à la gare, certains (hein Sylvain !) auraient bien
suivi la charmante jeune femme en sous-vêtements qui
restait sur le bord de la route, sûrement pour attendre
son bus… Après la remontée quasi-totale
de la promenade des rosbeefs, nous finissons tout de même
par trouver l'hôtel où Père Dodu se
sacrifiera pour dormir par terre. Ah, quel sens de la courtoisie
ce Dodu ! Après une courte nuit, retour à
l'aéroport car il faut bien rentrer. On dit au revoir
aux palmiers, à la mer et tutti quanti pour rentrer
sous al pluie de Paris (pluie peut-être mais c'est
PARIS !). Puis chacun se rentrera chez lui avant de se retrouver
pour de prochaines aventures.
Quiz : Que fait la mouche aux toilettes ? (Trouvez la réponse
désolée)
M. PROPRE
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