Nantes - Paris SG 

 
Que s'est-il passé en ce dimanche 05 octobre ? On ne sait toujours pas. Mais le fait est que nous ne sommes que 3 à nous rendre en Bretagne ou en Loire Atlantique (c'est comme vous voulez). Turtle et Seb dont c'est l anniversaire (Happy birthday to you) se placent dans le TGV. Moi je me retrouve tout seul avec un serial neuneu qui me saoule pendant tout le trajet en me disant que Marseille n'est pas si sale ville que ça et que la juve c'est son club préféré. J'ai beau lui asséné que la juve c'est de la merde et Marseille des enculés, cet abrutis de première (il était vraiment con) ne comprend pas.
Nantes est en vue, et Nounours et Kenny (Cf Strasbourg) viennent nous attendre à la sortie du train. En voiture toute pour le centre de Nantes, repas gastronomique dans un Mac Do puis photos devant le palais des ducs de Bretagne (ou de Loire Atlantique c'est comme vous voulez ) qui s'ensuit d'un splendide foutage de gueule de notre part envers de petites racailles nantaises. Nous décidons alors d'aller au stade mais nous traversons alors une fête foraine. L'appel de la grande roue est trop fort. Sensations fortes pour la tortue qui n'avait jamais vu ce qui se passait au-dessus de sa carapace. De retour sur terre nous prenons le périphérique nantais (et ses feux rouges !) et nous nous arrêtons tout près du stade, pour boire une petite bière fraîche dans le repère des supporters nantais. Puis nous nous rendons devant notre tribune, saluons les Parisiens déjà présents, et rentrons dans le stade en premier (ce qui nous permet de bâcher tranquillement).
Le stade de la Beaujoir est pas mal du tout. La seule faute de goût vient de la couleur des sièges (blanc et bleu ciel !).
Le match commence alors, après la superbe chansons des Canaries, et il commence fort, Algerino, Madar et Leroy (deux fois) marquent. Les Parisiens présents donnent de la voix. C'est vraiment le pied. Ala fin de cette victoire de folie, Nounours et Kenny encore euphoriques nous proposent de nous ramener directement sur Paris.
Allez Zou ! A la vitesse de Schumacher kenny enchaîne les dépassements sur l' autoroute, compteur bloqué à 185 km/h, malheureusement les flèches argentées des stewards déboulent et nous dépassent une à une, à plus de 200 ! (Comme quoi Hakinnen est meilleur que Shumacher). Il est 2h30, nous sommes déjà a paris, notre train n'est toujours pas parti de Nantes. Mais bon il faut aller se coucher car au petit jour c'est une nouvelle journée de travail qui commence…(merci la LNF)

Merci à nos amis lutèces : Kenny et Nounours.

Phrase du jour : " Mais, c'est qui va faire carrière ce petit ! " (Carriere)

PIERRE

 

 

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