Rennes - Paris SG 

 
Le premier déplacement de la saison nous offrait comme l'année dernière, un match dans la région de la patrie de la galette 100% pur beurre. Sont à 13H30 à la gare Montparnasse (lieu du rendez-vous), Turtle de retour de son pèlerinage en Israël, Le Père Dodu et son superbe sac ED (fuck ALDI), Mr Propre, Alkaline et moi-même (Senlis) suivi de 15 minutes plus tard de Greg (encore en retard…). Nous montons donc dans notre train direction non pas Rennes mais Le Mans, un trajet fort calme pour nous mais pas pour nos voisins qui semblent être exaspérés par nos discutions un peu bruyantes. Nous arrivons 54 minutes plus tard a la gare du Mans et non pas à la gare de Le Mans (n'est-ce pas Père Dodu) où nous attendons notre nouveau train pour Rennes. Nous arrivons vers 16h30, puis nous prenons la direction de l'appart du frère d'Alkaline. Le trajet étant quelques peu en pente, certain auront du mal mais tout le monde sera à l'arrivée. On pose nos sacs, on se rafraîchit un peu puis nous repartons pour le stade de la route de Lorient où Alkaline nous éblouira par son sens de l'orientation et où nous rencontrons sur le chemin Capote et Cyril venu en voiture. Certains monteront dans la voiture pour arrivés plus vite aux guichets et donc avoir les places plus rapidement mais ceux sont finalement ceux étaient à pied qui arriveront avant ceux en voitures (normal c'était capote au volant…). Bref on fait la queue pour les places sauf que visiblement il n'y en a pas assez pour tout le monde, Greg et 3 copains du père Dodu n'auront pas les leurs mais finiront par rentrer en bas de la tribune 30 minutes après le début du match. Nous bâchons en évidence (bravo Mr Propre qui a trouvé une place présidentielle pour notre bâche). Le coup d'envoi est donné par Rai, ceux qui nous permettra de nous chauffer la voix. A l'entrée des joueurs, tendus d'écharpes, 2 mats etc…(comme d'hab) et 2 fumis. On ne peut pas dire que l'ambiance est exceptionnelle, cela s'aggravera après l'ouverture du score des rennais. L'égalisation de Dalmat redonna un peu de voix à tous et un beau déchirage sur le grillage. Le coup de sifflet final est donné, les joueurs viennent nous saluer (les mentalités changent…) et c'est avec un 1-1 satisfaisant que nous quittons le stade seulement 30 minutes après la fin du match (là aussi ça change). Je rentre finalement avec Capote et Cyril en voiture dans ma campagne natal, les autres ne rentreront que le lendemain matin en train. Y'a pas à dire, Rennes restera un très bon souvenir.

SENLIS

 

 

 

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