Rennes - Paris SG 

 
Pour le dernier déplacement de l'année civile 2002, c'est à Rennes que nous nous rendons. Déplacement mythique pour les Kriek puisque finalement c'est bien là-bas que le groupe est né (enfin j'me comprends). Donc logiquement, vous allez me dire , y a eu une mobilisation de ouf ! Et là avec une certaine franchise je vous réponds "bah oui, on était deux". Je rejoins M. Propre à la gare Montparnasse sur le coup des 2 heures de l'après midi. Embarquement dans les TGV et direction la Bretagne. Le controleur ne passera pas, c'est con on avait composté. Après deux heures d'un voyage assez kaotique on arrive enfin dans le pays des bigoudines et des galettes saucisses. on sort de la gare, direction notre petit pub habituel (c'est du coté de la rue de la soif pour ceux qui connaissent) mais le problème c'est qu'on tombe nez à nez avec le marché de noël ...
Ce sera ici qu'on passera notre après-midi. Au menu, tartines à la raclette et vins chauds. Après ce moment gastronomique direction le stade. On arrive après vingt minutes au stade, quelques groupes sont déjà présents. On récupère les places (Morgan je t'aime !!) et on recule de quelques mètres pour squatter le parking.Vous me direz "mais qu'est ce que vous foutez sur un parking ?". Bah on fais chier les mecs avec des lampes qui gèrent les trois voitures qui se garent. Mais non on attend nos amis les joueurs. Et enfin ils arrivent encadrés par deux pauvres motards de nos autres amis les forces de l'ordre. Là je vous passe les détails mais quelques barières volent sur la route. Le car est obligé de s'arrêter et les coups de ceintures et de chaussures viennent percuter le car. Toout ça ne dure pas très longtemps mais au moins comme ça ces fumistes de joueurs savant à que quand on porte le maillot du Paris SG, il faut se battre pour ses couleurs. Une fois ces incivilités terminées, on rentre dans le parcage.
Comme l'an passé le parcage est séparé en deux. A gauche on retrouve Auteuil, et à droite Boulogne ... On se place à doc à gauche, Wissam s'occupe du bâchage, et c'est parti pour 45 minutes d'une première mi-temps équilibrée. Coté parcage on assurera pas mal, compte tenu de l'ambiance actuelle. La mi-temps est sifflée, et la deuxième débute. L'équipe perd complétement pied et les chants contre Perpere, contre Canal et contre les joueurs sont lancés. Finalement ce qui devait arriver, arriva ... on prend un but, et on perd. Tout le monde est dépité, les keufs nous font attendre que les joueuses partent pour nous faire sortir. On rentre dans le car des ATKs (merci à eux) et on arrive à Paris sur les coup des 4 heures du matin.


Alka

 

 

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