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En cette veille de 1er novembre, ceux sont deux kriek qui
vont prendre place dans un car double LF-Boys, Alka et moi
même.C'est vers 20h00 que le car partira avec en haut
les LF (plus nous) et en bas les boys. Le début du
voyage se fera aux rythmes des délires fortement
alcoolisés avec pour notre part du gin fizz, une
p'tite récolte, des kros, des guinness et un punch
fatale.
après plusieurs tournées nous nous écroulons
aproximativement vers 2h du matin.La nuit sera agitée
pour certains et nous sommes réveillés à
7H du matin par une chieuse, Milie pour ne pas la citer.Autant
dire que la journée commençait bien.On a déjà
les trait tirés et c'est,pour notre part, assez fatigués
que nous arrivons dans le centre de Vienne vers 13h30. Après
quelques tergiversations, chacun part de son coté
et doit se retrouver à 16H à l'hotel de ville
pour une escorte.On erre dans la ville que nous connaissons
déjà, mangeons les délicieuses bradwürste,
et nous rendons à 6 au lieu de rendez vous. La nous
sommes les seuls et pas l'ombre d'un policier. Ce n'est
pas grave,on décide d'y aller en métro, même
si avec notre deux mat et la tenu de crusa on fait pas très
discret. A la station Karsplatz on tombe sur le cortège
LF et 2mn après arrivent les gavroches-rangers-layache
et indeps.
Surgissent alors deux idiots vraissemblablement bourrés
qui se mettent à chanter aller marseille.Nous les
ignorons avec les LF et rentront dans notre wagon. Par contre
malheuresement pour eux les indeps ne laissent pas passer
cette provocation et c'est bléssé à
la tête que finit un des autrichiens. Les indeps,
malins s'en vont avant l'arrivée des flics. Nous,
n'ayant rien à nous reprocher nous restons dans le
wagon.Mais pour une obcure raison, l'autrichien refuse de
laisser les portes se fermer..le ton monte et là
encore quelques coups seront échangés. Le
train ne démarre toujours pas et les flics débarquent
sur le quai noir de monde.ça fait bien 15mn qu'on
bloque la circulation du métro. et là, nous
assistons stupéfait à une mascarade, l'autrichien
provocateur désigne du doigt ceux qui vont se faire
arreter.La police lui obéit !! alors qu'il n'est
pas compliqué de s'apercevoir qu'il en tenait une
couche. Finalement on sors tous du métro et on suit
les flics (certains réussiront à s'esquiver..).ON
se retrouve à une petite trentaine à attendre
devant le poste de police de la station que nos potes soit
relachés. On peut d'ailleur constater la brutalité
des flics autrichiens pendant cette longue attente.
Au bout de 45 mn tout le monde est relaché.on est
escorté jusqu'au métro pour aller au match
qui commence dans 10mn à peine. On y arrive sous
bonne garde (des clebards partout !) et on entend le premier
but autrichien. On se presse de rentrer, mais pour Alka
et moi pas de deuxième but autrichien non plus à
cause du bachage et de la triple fouille me concernant.
On retrouve Propre venu en avion et à peine le temps
de commencer à regarder le match que c'est la mitemps.(à
signaler qu'un boys sera embarquer pour un pot de fumée
à l'entrée des joueurs..)
La deuxième mi temps commencent mieux pour nos joueurs
qui réussissent à sauver l'honneur puis à
égaliser. Coté tribunes, on a pas été
terrible..peut être est ce du à la démotivation
de certains, l'abscence de méga? en tout cas les
bons moment furent rares. coté autrichien, c'est
pire que contre le partizan, à peu près 3
chants et des chorées et tendus beaucoups moins impréssionnant.Voilà
après une courte attente dans le froid et le vent
on peut ressortir et regagner nos cars.On salue seb qui
lui retourne à l'aéroport (il est rentré
chez lui dans la nuit.) et on repart direction l'allemagne.
Le retour sera lui aussi assez sympa, avec de bons délires
dont une mise à poil d'un LF (qui a dit comme d'hab?)
et une nuit assez courte. On arrive sur le coup de 13H vers
la porte de st cloud. le temps de faire un petit ménage
et de saluer tout le monde, et on rentre chez nous fatigués
mais pas déçus du voyage.
voilà, pour finir,MERCI aux Lutèces pour l'organisation
du car et du déplacement, ainsi que pour le tarif
préférentiel auquel on a eu le droit.
Kant
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