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Siffler sur la colline
Les Champs Elysées
Les Copains d'Abord
L'Auvergnat
La grosse bite à Dudule
L'incendie à Rio
Beuth Ceu de Pau

La Boite à Caca
Allons à Messine
Adieu fais toi Putain
Là Haut sur la Colline
La Grosse Bite à Dudule
Tirer un p'tit coup
Les 3 Orfèvres 
Il était un petit navire
Le Grand Vicaire
L’Hotel Dieu
Jean Gilles
Margot
Vivent les Etudiants
Le berger fidèle
Caroline
Charlotte
La fille du Bedoin
Le Zobi d'Ali Pacha
L’Auvergnat
Petite Marie
Le Gorille 
La Chasse aux Papillons
Hymne au Pastis
Ils sont tous au Brésil
Le Père DUPANLOUP
L’Oiseau et l'Enfant
Puisque tu pars
Dès que le vent soufflera
L’Amérique
Aux Champs-Elysées
Siffler sur la Colline
Du Rhum, des femmes
Allez le Stade !
La SIMCA 1000 
Les Avants deBayonne
Dans les prisons de Nantes
Le loup, le renard et la belette
Brave Margot
     LE PERE DUPANLOUP 
       

      L’Père Dupanloup dans l’utérus (bis) 
      Etait déjà si plein d’astuce (bis) 
      Que dans le ventre de sa mère 
      Il suçait la queue de son père. 

      L’Père Dupanloup dans son berceau (bis) 
      Bandait déjà comme un taureau (bis) 
      Pour satisfaire ses caprices 
      Il enculait sa vieille nourrice. 

      L’Père Dupanloup à la cuisine (bis) 
      Battait les œufs avec sa pine (bis) 
      Nom de Dieu dit la cuisinière 
      Fout la moi donc dans le derrière. 

      L’Père Dupanloup l’14 Juillet (bis) 
      Alla s’promener à dos d’mulet (bis) 
      Pour que la fête soit complète 
      Il encula la pauvre bête. 

      L’Père Dupanloup à bicyclette (bis)  
      Faisait pas beaucoup d’kilolmètres (bis) 
      Car sa longue pine à la traîne 
      Se prenait toujours dans la chaîne. 

      L’Père Dupanloup Monte en bateau (bis)m 
      Mais il avait l’système si beau (bis) 
      Qu’il avait bien cent mille grenouilles 
      A lui sucer la peau des couilles. 

      L’Père Dupanloup monte en ballon (bis) 
      Mais il avait l’système si long (bis) 
      Qu’à trois cent mètres dans l’atmosphère 
      La peau de ses couilles traînait par terre. 

      L’Père Dupanloup dans un wagon (bis) 
      Se conduisait comme un cochon (bis) 
      Passant sa bite par la portière 
      Il éborgna le gard’barrière. 

      L’Père Dupanloup à Zanzibar (bis) 
      Voulait montrer tout son bazar (bis) 
      Mais empêché par une patrouille 
      Y n’put montrer qu’une de ses couilles. 

      A la prise de la Smalah (bis) 
      Dupanloup était encore là (bis) 
      On le chercha devant, derrière 
      Il enculait les dromadaires. 

      A la bataille d’la Moskova (bis) 
      C’est encore lui qui nous sauva (bis) 
      Il n’eut qu’à montrer sa biroute 
      Pour mettre les Russes en déroute. 

      Pendant la grève des tramways (bis) 
      Il montra bien ce qu’il était (bis) 
      Pour aiguiller les grosses machines 
      Il appuyait avec sa pine. 

      L’Père Dupanloup quand il fut vieux (bis) 
      Ne bandait plus qu’un jour sur deux (bis)  
      Il se coupa les couilles de rage 
      Pour en faire un sac de voyage. 

      L’Père Dupanloup dans son cercueil (bis) 
      Bandait encore comme un chevreuil (bis) 
      Avec sa pine en arc de cercle 
      Il essayait d’soulever l’couvercle. 

      L’Père Dupanloup au paradis (bis) 
      Voulut baiser Vierge Marie (bis) 
      Crénom de Dieu dit l’éternel 
      Prends tu mon ciel pour un bordel. 
       


 L’OISEAU ET L’ENFANT
 
Comme un enfant aux yeux de lumière
Qui voit passer au loin les oiseaux
Comme l’oiseau bleu survolant la Terre
Voit comme le monde, le monde est beau.
Beau ce bateau dansant sur les vagues
Ivre de vie, d’amour et de vent
Belle, la chanson naissante des vagues
Abandonnée au sable blanc.
Blanc l’innocent, le sang du poète
Qui en chantant invente l’amour.
Pour que la vie s’habille de fête 
Et que la nuit se change en jour.
Jour d’une vie où l’aube se lève
Pour réveiller la ville aux yeux lourds
Où les matins effeuillent les rêves
Pour nous donner un monde amour.
L’amour c’est toi, l’amour c’est moi
L’oiseau c’est toi, l’enfant c’est moi.
Moi je ne suis qu’un homme de l’ombre
Qui voit briller l’étoile du soir.
Toi mon étoile qui tisse ma ronde
Viens allumer mon soleil noir. 
Noirs la misère, les Hommes et la guerre
Qui croient tenir les rênes du temps
Pays d’amour n’a pas de frontières
Pour ceux qui ont un cœur d’enfant.
Comme un enfant aux yeux de lumière
Qui voit passer au loin les oiseaux
Comme l’oiseau bleu survolant la terre
Nous trouverons ce monde amour.
L’amour c’est toi, l’amour c’est moi
L’oiseau c’est toi, l’enfant c’est moi.
L’oiseau c’est toi, l’enfant c’est moi (bis)
 
 
 
 
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