Chansons
de France...
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L’Père Dupanloup dans l’utérus
(bis)
Etait déjà si plein d’astuce
(bis)
Que dans le ventre de sa mère
Il suçait la queue de son père.
L’Père Dupanloup dans son berceau
(bis)
Bandait déjà comme un taureau
(bis)
Pour satisfaire ses caprices
Il enculait sa vieille nourrice.
L’Père Dupanloup à la cuisine
(bis)
Battait les œufs avec sa pine (bis)
Nom de Dieu dit la cuisinière
Fout la moi donc dans le derrière.
L’Père Dupanloup l’14 Juillet (bis)
Alla s’promener à dos d’mulet (bis)
Pour que la fête soit complète
Il encula la pauvre bête.
L’Père Dupanloup à bicyclette
(bis)
Faisait pas beaucoup d’kilolmètres
(bis)
Car sa longue pine à la traîne
Se prenait toujours dans la chaîne.
L’Père Dupanloup Monte en bateau
(bis)m
Mais il avait l’système si beau
(bis)
Qu’il avait bien cent mille grenouilles
A lui sucer la peau des couilles.
L’Père Dupanloup monte en ballon
(bis)
Mais il avait l’système si long
(bis)
Qu’à trois cent mètres dans
l’atmosphère
La peau de ses couilles traînait
par terre.
L’Père Dupanloup dans un wagon (bis)
Se conduisait comme un cochon (bis)
Passant sa bite par la portière
Il éborgna le gard’barrière.
L’Père Dupanloup à Zanzibar
(bis)
Voulait montrer tout son bazar (bis)
Mais empêché par une patrouille
Y n’put montrer qu’une de ses couilles.
A la prise de la Smalah (bis)
Dupanloup était encore là
(bis)
On le chercha devant, derrière
Il enculait les dromadaires.
A la bataille d’la Moskova (bis)
C’est encore lui qui nous sauva (bis)
Il n’eut qu’à montrer sa biroute
Pour mettre les Russes en déroute.
Pendant la grève des tramways (bis)
Il montra bien ce qu’il était (bis)
Pour aiguiller les grosses machines
Il appuyait avec sa pine.
L’Père Dupanloup quand il fut vieux
(bis)
Ne bandait plus qu’un jour sur deux (bis)
Il se coupa les couilles de rage
Pour en faire un sac de voyage.
L’Père Dupanloup dans son cercueil
(bis)
Bandait encore comme un chevreuil (bis)
Avec sa pine en arc de cercle
Il essayait d’soulever l’couvercle.
L’Père Dupanloup au paradis (bis)
Voulut baiser Vierge Marie (bis)
Crénom de Dieu dit l’éternel
Prends tu mon ciel pour un bordel.
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