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Siffler sur la colline
Les Champs Elysées
Les Copains d'Abord
L'Auvergnat
La grosse bite à Dudule
L'incendie à Rio
Beuth Ceu de Pau

 
La Boite à Caca
Allons à Messine
Adieu fais toi Putain
Là Haut sur la Colline
La Grosse Bite à Dudule
Tirer un p'tit coup
Les 3 Orfèvres 
Il était un petit navire
Le Grand Vicaire
L’Hotel Dieu
Jean Gilles
Margot
Vivent les Etudiants
Le berger fidèle
Caroline
Charlotte
La fille du Bedoin
Le Zobi d'Ali Pacha
L’Auvergnat
Petite Marie
Le Gorille 
La Chasse aux Papillons
Hymne au Pastis
Ils sont tous au Brésil
Le Père DUPANLOUP
L’Oiseau et l'Enfant
Puisque tu pars
Dès que le vent soufflera
L’Amérique
Aux Champs-Elysées
Siffler sur la Colline
Du Rhum, des femmes
Allez le Stade !
La SIMCA 1000 
Les Avants deBayonne
Dans les prisons de Nantes
Le loup, le renard et la belette
Brave Margott
     PUISQUE TU PARS 
        

      Puisque l’ombre gagne, 
      Puisqu’il n’est pas de montagne, 
      Au-delà des vents, plus haute que les marches de l’oubli, 
      Puisqu’il faut apprendre, 
      A défaut de le comprendre, 
      A rêver nos désirs et vivre des ainsi soit-il, 
      Et puisque tu penses, 
      Comme une intime évidence, 
      Puisque tu pars, 

      Que les vents te mènent où d’autres âmes plus belles, 
      Sauront t’aimer mieux que nous puisque l’on ne peut t’aimer plus, 
      Que la vie t’apprenne, 
      Mais que tu restes le même, 
      Si tu te trahissais, nous t’aurions tout à fait perdu, 
      Garde cette chance, 
      Que nous t’envions en silence, 
      Cette force de penser que le plus beau reste à venir, 
      Et loin de nos villes, 
      Comme octobre l’est d’avril, 
      Sache qu’ici reste de toi comme une empreinte indélébile, 

      Sans drame, sans larmes, 
      Pauvres et dérisoires armes, 
      Parce qu’il est des douleurs qui ne pleurent qu’à l’intérieur, 
      Puisque ta maison, 
      Aujourd’hui c’est l’horizon, 
      Dans ton exil, essaie d’apprendre à revenir, 
      Mais pas trop tard, 

      Dans ton histoire 
      Garde en mémoire 
      Notre au revoir 
      Puisque tu pars 

      J’aurais pu fermer, oublier toutes ces portes, 
      Tout quitter sur un simple geste mais tu ne l’as pas fait, 
      J’aurais pu donner tant d’amour et tant de force, 
      Mais tout ce que je pouvais, ça n’était pas encore assez, 
      Pas assez, pas assez, pas assez… 
       


 DES QUE LE VENT SOUFFLERA
! A COMPLETER
C’est pas l’homme qui prend la mer,
C’est la mer qui prend l’homme,
Moi la mer elle m’a pris,
C’était un mardi.
J’ai dû troquer mes santiags et mon cuir un peu stone
Contre une paire de Dock-side et un vieux cirée jaune
J’ai déserté les crasses qui m’disaient ‘sois prudent’,
La mer, c’est dégueulasse, les poissons baisent dedans,
Dès que le vent soufflera, je repartira, 
Dès que les vents tourneront, nous nous en all’ront.
C’est pas l’homme qui prend la mer,
C’est la mer qui prend l’homme,
Moi la mer elle m’a pris,
Au dépourvu, tant pis.
J’ai eu si mal au cœur, sur la mer en furie,
Qu’j’ai vomi mon quatre heures, 
Et mon minuit aussi.
Je m’suis cogné partout, j’ai dormi dans des draps mouillés
Ca m’a coûté des sous
… ? ? ? ?
Dès que le vent soufflera, je repartira, 
Dès que les vents tourneront, nous nous en all’ront.
C’est pas l’homme qui prend la mer,
C’est la mer qui prend l’homme,
Mais elle prend pas la femme
? ? ? ?
La mienne m’attend au port, au bout de la jetée,
L’horizon est bien mort dans ses yeux délavés
Assise sur une bitte d’amarrage, elle pleure
Son homme qui la quitte, la mer, c’est son malheur
Dès que le vent soufflera, je repartira, 
Dès que les vents tourneront, nous nous en all’ront.
C’est pas l’homme qui prend la mer,
C’est la mer qui prend l’homme,
? ? ? ?
Je f’rai le tour du Monde, 
Pour voir à chaque étape,
Si tous les gars du Monde,
Veulent bien m’lâcher la grappe
J’irai aux quatre vents, fouttre un peu le boxon,
Jamais les océans n’oublieront mon prénom
Dès que le vent soufflera, je repartira, 
Dès que les vents tourneront, nous nous en all’ront.
C’est pas l’homme qui prend la mer,
C’est la mer qui prend l’homme,
Moi la mer elle m’a pris,
Et mon bateau aussi.
Il est fier mon navire, il est beau mon bateau,
C’est un fameux trois-mâts, fin comme un oiseau 
? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?
Naviguent pas sur des cageots, ni sur des poubelles
Dès que le vent soufflera, je repartira, 
Dès que les vents tourneront, nous nous en all’ront.
C’est pas l’homme qui prend la mer,
C’est la mer qui prend l’homme,
Moi la mer elle m’a pris
Je m’souviens, un vendredi
Ne pleure plus ma mère, ton fils est matelot
Ne pleure plus mon père, je vis au fil de l’eau
Regardez votre enfant, il est parti marin
Je sais, c’est pas marrant, mais c’était mon destin
Dès que le vent soufflera, je repartira, 
Dès que les vents tourneront, nous nous en all’ront.
 
 
 
 
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