Frederik Pohl
J'ai été très peiné d'ouvrir le New York Times pour y apprendre la mort de Phil Dick. Son oeuvre m'a toujours paru former une seule vaste saga dont il lui arrivait parfois de prélever, plus ou moins arbitrairement, des fragments qu'il publiait sous la forme de romans ou de nouvelles.Et aujourd'hui, la saga prend fin, sans que nous en connaissions le dénouement.